Cloître s’engage dans une démarche ClimateCalc, le bilan carbone pour les imprimeurs
Notre récente labellisation Bretagne 26000 nous a amenés à prendre 35 engagements pour les 3 ans à venir dont celui de refaire un bilan carbone de l’entreprise dès 2023.
Nous avions déjà fait une telle démarche en 2009 en lien avec l’ADEME sans avoir mis à profit forcément tous les enseignements de ce bilan général. Cette fois-ci, nous avons décidé d’aller plus loin !
En choisissant Climate Calc, nous pourrons non seulement avoir une vision de nos émanations CO2 sur le périmètre complet de l’activité de l’entreprise (scope 3) pour nous comparer avec 2009 mais nous pourrons aussi permettre à nos clients de connaitre l’empreinte carbone de chaque commande livrée. Un vrai plus !
ClimateCalc, qu’est-ce que c’est exactement ?
ClimateCalc a été conçu au Danemark il y a quelques années avec l’objectif d’estimer les émissions de C02 générées par un imprimé. Il s’agit d’une méthode de calcul basée sur l’ACV « Analyse du Cycle de Vie ».
Ce calcul tient compte des principales sources d’émissions carbone et permet ainsi de définir des actions de réduction pouvant être mises en place à la fois par l’acheteur d’imprimés et l’entreprise graphique. L’estimation des émissions d’un imprimé sera basée sur la prise en compte de données de Cloître (consommation énergétique, déplacement du personnel, …) et sur la considération des caractéristiques de l’imprimé commandé :
choix du papier et de son lieu de fabrication + mode d’acheminement
format du document et pagination
taux d’encrage
type d’impression (offset, flexographie, héliogravure, numérique, sérigraphie)
type de finition…
modalités d’emballages
mode de transport aval (livraison au client)
Au-delà des données propres à l’imprimeur, le calcul intègre les éléments d’une base de données commune et internationale régulièrement mise à jour (empreinte carbone d’une référence papier en fonction de son grammage, de la papeterie qui l’a fabriquée,)
ClimateCalc la démarche internationale pour la sensibilisation à l’empreinte carbone des imprimeurs !
ClimateCalc est un calculateur unique basé sur les recommandations de la confédération européenne des industries graphiques, Intergraf.
En proposant des facteurs d’émissions propres aux industries graphiques, ClimateCalc n’est pas qu’un calculateur européen mais représente aussi une base de données européenne commune utilisée et mise à jour par l’ensemble des membres du consortium européen ClimateCalc. Cela permet notamment des éléments de comparaison puisque le périmètre d’étude est le même pour tous les imprimeurs qui s’y engagent.
ClimateCalc est conforme aux normes ISO 14064-1, ISO 16759 et au Green House Gas Protocol (GHG Protocol).
Un intérêt manifeste pour les communicants responsables
ClimateCalc va nous permettre d’intégrer dans notre « approche conseil » des recommandations plus fortes en matière de choix papier éco-responsable. Elle favorisera les comparaisons d’une référence par rapport à une autre par exemple.
Bien sûr, elle n’enlèvera rien aux autres critères de choix comme la labellisation d’une référence PEFC ou FSC, le taux de fibres recyclées ou d’éléments alternatifs dans sa composition et bien sûr à l’optimisation des formats ou le mode éco-conception du graphisme. Ce sera un aspect complémentaire pour vous aider dans le choix du donneur d’ordre et dans la transparence attendue par les consommateurs.
Le logo de la marque ClimateCalc apposé sur votre imprimé vous permettra d’attester que cette estimation est faite conformément à une méthode reconnue et indiquera le numéro de certificat de notre imprimerie.
Exemple de logo climatecalc
Rendez-vous à la rentrée de septembre pour découvrir notre bilan carbonne.
Notre équipe Cloitre vous donne rendez-vous en septembre pour vous annoncer (on l’espère ) notre labellisation (après audit validé) et tester avec vous le calcul de l’empreinte carbone de votre imprimé.
Une nouvelle aventure commence
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Info-tri ou la signalétique pour améliorer le geste de tri de nos papiers et emballages mais pas que !
L'info-tri une nouvelle obligation « vertueuse » pour faciliter le geste de tri !
87% des consommateurs français trient leur papier mais 41% seulement le font régulièrement. C’est le chiffre que Citeo met en avant pour légitimer cette nouvelle obligation de marquage info-tri sur les papiers notamment.
Info-tri est le logo qui remplace le « triman » qui avait été créé et mis en application dès janvier 2015 pour suggérer le recyclage possible du support.
Dans les faits, ce symbole « seul » n’était pas forcément compréhensible par tous et il était susceptible de confusion avec la boucle de Mobius et le Point vert.
Pour rappel :
Boucle de Mobius
Symbole universel qui signifie que techniquement le produit est recyclable. Lorsqu’il comporte un chiffre (%), il signifie que le produit contient un % de matières recyclées
Le point vert
Symbole qui signifie que le fabricant du produit paye une taxe pour la collecte du déchet.
Le Triman
Symbole qui signifie que le produit/emballage peut être recyclé suite à une collecte séparé. Ce logo va dorénavant être intégré dans l’Info-tri . Il pourra exister seul uniquement sur les papiers de petite surface ( inférieure à 20 cm2)
La nouvelle signalétiqueInfo-trise veut pédagogique et plus précise. Elle spécifiera les différents éléments d’un produit ou d’un packaging et elle permettra de visualiser le bac de tri à utiliser pour chacun des composants (soit dans un bac de tri verre ou papier/emballages soit dans la poubelle classique).
Cette obligation rentre dans le cadre de la loi AGEC (Anti-Gaspillage pour une Economie Circulaire) promulguée le 10 février 2020 avec des décrets d’application qui se mettront en place jusqu’en 2040. Plus d’infos dans nos webinars Eco-conception/Eco-Impression.
La date de mise en application de l’Info-tri est fixée au 9 mars 2023
Ce nouveau marquage a démarré en septembre 2021. Un délai a été accordé aux entreprises pour se mettre en conformité et notamment écouler leurs anciens packagings jusqu’au début mars 2023.
Depuis le 9 mars dernier, tous les packagings quel que soit leur épaisseur et tous les papiers dont le grammage est inférieur à 225g/m2 (même périmètre que l’éco-contribution papier) doivent obligatoirement comporter cette indication (sous peine d’amende stipule Citeo dans sa documentation).
En ce qui concerne les supports papiers, certains documents sont exclus de l’obligation d’apposer Info-tri. Il s’agit :
Des livres
Des calendriers
Des agendas
Des blocs notes
Des cartes postales
Des albums photos
Des tirages de plan
Et des documents dont la surface sont inférieurs à 10 cm2. Pour les documents entre 10 et 20 cm2, seuls le logo « Triman » est exigé.
La responsabilité du marquage de l'info-tri incombe aux donneurs d’ordre !
Les graphistes nous demandent souvent si l’imprimeur peut envoyer les logos pour les insérer dans son fichier (comme on le faisait avec Triman). La réponse est non ( ce qui est très dommageable selon nous mais ce n’est que notre avis !)
Officiellement, tous metteurs sur le marché de documents papiers (même s’il ne s’agit que d’un flyer par an et d’un poids inférieur à 5 kg !) doit s’inscrire sur le site de Citeo et créer son compte. On vous demandera votre code SIRET, votre RIB pour anticiper sans doute le fait que vous puissiez être à l’avenir soumis à l’éco-contribution ! ) et vous aurez ensuite accès à toute la documentation sur Info-tri avec les fichiers en haute définition.
Pour ceux qui sont déjà soumis à l’éco-contribution, pas de souci : vous avez déjà créé votre compte et avez déjà accès aux documents et fichiers de Citéo.
Une démarche qui n’est pas exclusive des papiers et emballages
Cette information sur le tri des supports n’est pas exclusivement réservée aux emballages ou au papier. Elle se décline également pour
Les vêtements
Le linge de maison
Les chaussures
L’ameublement
Les équipements électriques/électroniques
Les piles et accumulateurs
Et plus largement tous les produits générant des déchets. Si vous faites bien attention, vous allez pouvoir découvrir de multiples signalétiques pour vous inciter à trier, recycler voire donner.
L'info-tri une contrainte bénéfique pour la planète et en cohérence avec nos engagements RSE !
Certes, cette nouvelle obligation est une contrainte supplémentaire mais si elle doit nous permettre de protéger « un peu » la planète, alors nous sommes certains que nous nous y contraindrons tous !
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En ce début d'année, laissez-moi vous embarquer dans le monde monstrueusement abominable, mais pas moins attachant de Carine-M & Élian Black’Mor d'Arsenic & Boule de gomme.
Arsenic et boule de gomme ? Qui sont-ils ?
Cette landernéenne et cet auvergnat se sont rencontrés pendant leurs études au Lycée des Arènes de Toulouse en Expression Visuelle « option Image de Communication » (EVIC) et ont construit au fur et à mesure des années, leur univers fantastique et leur propre langage que je vais bien volontiers emprunter le temps de cet article.
Leurs influences artistiques ?
- Brian Froud (« Les fées séchées »),
- L'illustrateur américain Edward Gorey pour son humour noir mais pas néfaste et son travail du noir et blanc.
- Le réalisateur, scénariste et producteur de cinéma américain Tim Burton (coup de cœur pour « L’étrange Noël de M. Jack » et « Beetlejuice »),
- Quino et sa célèbre héroïne « Mafalda » a inspiré une part de la personnalité de leur personnage Spooky,
- Le magazine de cinéma français et fantastique Mad Movies, d’où les affiches qui composent leur dernier ouvrage à paraître le « Road Trip Fantastic ».
Les chemins de traverse empruntés ?
Après un parcours agence pendant 5 ans, Elian rejoint Carine-M déjà installée en freelance depuis la fin de ses études aux Arts Décoratifs de Strasbourg.
Durant 15 ans, ils ont exercé leurs talents graphiques en communication et illustrations pour plusieurs marques : Adidas, Téfal, M&M's, Joupi, Gamm'vert, Bonneterre, Lolita Lempicka, la mascotte enfant Léon de Bruxelles...
Ces expériences ont été très formatrices et leur ont permis de s'orienter petit à petit vers leur univers fantastique.
En 2005, la maison d'édition morlaisienne Au Bord des Continents accroche avec une illustration de dragon envoyé par Élian, ce qui enclenche la réalisation de la série Black’mor Chronicles avec 3 tomes d'un carnet de bord « Sur la piste des dragons oubliés » qui rencontre un grand succès : plus de 40 000 ex. vendus (1 tome par année et plus tard une traduction américaine).
Puis en 2009, sort « Le guide du savoir-(sur)vivre en compagnie des monstres » avec 10 000 ex. vendus aux Éditions Kensington Pudding.
En 2010, c'est aux Éditions Glénat qu'ils décident de faire paraître 8 ouvrages tous orientés vers le monstrueux, l'étrange, l'épouvantable, les dragons, les maudits, les contes, les vampires, les princesses, les fantômes...
En 2012, lors d'un salon « Trolls et légendes » en Belgique, ils croisent la route de Pierre DUBOIS : auteur, scénariste de bande dessinée, écrivain, conteur et conférencier français à l'origine du regain d'intérêt pour les fées et petit peuple en France.
De cette rencontre, Élian imagine l’idée d’un livre commun composé des écrits de Pierre associés à leurs illustrations et graphisme pour la mise en page. Ainsi naissent « L'épouvantable encyclopédie des fantômes », puis « l'effroyable encyclopédie des revenants ». Pierre Dubois prêtera sa plume pour la préface de leur premier artbook au nom évocateur : « L'abominable innommable grimoire » parue en 2021.
Le succès est une nouvelle fois au rendez-vous avec ce premier livre illustré de leur propre maison d’édition Arsenic & Boule de gomme !
En parallèle de la collaboration avec Pierre, Carine signe en 2015 avec la maison d'édition Glénat pour 3 tomes de « Spooky et les contes de travers » destinés à un public plus jeune.
Notre couple d'affreux ressent le besoin de souffler, d'écrire sans contraintes de temps. Ils veulent leur liberté et récupèrent ainsi les droits d'édition de leur deux séries phares « Black’mor Chronicles » et « Spooky et les contes de travers ».
Ils créent leur propre maison d'édition un peu déjantée, avec leurs plumes aux encres maléfiques : Arsenic et boule de gomme !
Ils enchaînent les salons pour faire connaître leur maison d'édition et lancent 5 campagnes participatives via Ulule pour financer leurs projets : le textile, le grimoire, un coffret avec dorure à chaud, le « Road Trip Fantastic » et enfin le premier cahier d’Arsenic le « Bestiaire improbable et fantastique » complément au Road trip en récit illustré de 2 mois et demi de leur voyage en van.
Un ensemble de partenaires pour les accompagner dans cette nouvelle aventure :
Simply a box, les ont aidés à agencer leur galerie à Carnac avec leurs caisses modulables en pin d’Auvergne.
Matheus Communication, basé à Auray, ont habillé les vitrines de leurs deux galeries estivales à Carnac, imprimé les bâches de leur stand pour les salons et fabriqué depuis cette année des petits objets en plastiques, comme le ouija Spooky. L’agence est déjà mandaté sur le projet de leur toute nouvelle galerie au cœur de Carnac-plage dans la galerie Rahd Coët qui ouvre le 1er avril 2023.
Les Porcelaines de la Fabrique ont réalisé les 2 tasses en porcelaine fine de Limoges et une théière avec leurs designs fantastiques.
L’imprimeur italien LEGO a imprimé leur grimoire avec des options hauts de gamme : couverture avec dorure à chaud, papier offset en séchage UV, deux signets.
qui avons imprimé leur 1er cahier d’Arsenic, le « Bestiaire improbable & fantastique » sur papier offset, avec embossage de la couverture, coins arrondis et couture Singer (couleur potiron évidemment).
Parlons-en de ce 1er cahier bestiaire improbable et fantastique que Cloître a eu le plaisir de rouler sur sa presse offset Heidelberg 8 couleurs :
Le bestiaire improbable est né suite à l’annonce du kidnapping d’Oscar💀 le squelette à casquette mascotte de Carine et Élian.
Ils se sont ainsi risqués sur les routes de l’étrange à bord de leur Creepy-machine.
L’appel de l’aventure était trop grand pour lui résister plus longtemps, et voilà nos 2 affreux préférés quittant leur repaire, aidé d’un étrange courrier déposé sur le pas de leur porte, le soir d’une nuit sans lune.
Le nom d’El Coco et la destination mythique de Tabernas avec ses décors de cinéma seraient leur objectif de départ…
C’est ainsi qu’est née leur minisérie sur YouTube « les Fantastiques Effroyables Aventures de Carine-M et Élian Black’Mor » et voici la concrétisation de ce BESTIAIRE FANTASTIQUE pour l’accompagner en format papier.
Concernant Oscar, vous saurez à la fin de ce 1er cahier ce qu’il y a à savoir ! … 🚌
Pourquoi avoir choisi Cloître pour imprimer ?
« On voulait imprimer en Bretagne, du LOCAL ! On a contacté Cloître et le feeling avec la conseillère print du secteur, Claire Philbée, est tout de suite passé. On a apprécié le côté très pro de Claire et son ouverture d'esprit. Elle a rapidement compris nos attentes. Lors de notre première rencontre, elle avait un exemple de cahier avec une couture Singer orange qui nous a séduit. »
« Nous avons un grenier dans notre tête, avec une forme pour chaque livre et il n'est pas aisé de nous comprendre ! Et Cloître a réussi à relever ce défi »
Vivement le 2nd cahier, qu’on puisse découvrir de nouvelles créatures et partir en compagnie de nos deux illustrateurs de l’étrange dans un nouvel et improbable road trip. Et en attendant, si vous avez encore soif d’aventures fantastiques, de grimoires, de sorcières et de dragons, continuez la route dans les mondes parallèles de Carine et Élian sur leur e-shop : www.arsenic-et-bouledegomme.com
Pour en savoir plus
1er tirage en Décembre 2022 de 1000 brochures piquées reliure Singer – 36 pages en papier Offset blanc 100% PEFC – Embossage du titre sur la 1ère de couverture + découpe 2 coins ronds pour l'ensemble de l'ouvrage
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[post_excerpt] => Je vis à Bordeaux et ai fait appel à plusieurs imprimeries dans ma région et en France. Cloître est la seule imprimerie à avoir voulu m’accompagner dans ce projet et répondre à mes demandes. On pourrait certes les qualifier d’un peu farfelues mais le résultat me prouve que j’ai eu raison d’y croire et de croire en cette imprimerie finistérienne. »
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Un transporteur qui sort une BD, ça vous interpelle ? Nous, OUI !
L’occasion était trop belle, il fallait percer le mystère d’une telle réalisation et rencontrer Pauline, la fille du fondateur des transports PELÉ.
La naissance de la BD :
L’envie de raconter l’histoire des Transports PELÉ a germé dans la tête de Patrick PELÉ il y a des années, à la suite d’une question d’un salarié conducteur :
« raconte-moi ton histoire et celle des Transports PELÉ ».
Cette BD illustrée par le talentueux Frédéric Debailleul retrace la saga de la famille, la création et les différentes évolutions de l’entreprise.
Et vous savez comme on aime les belles histoires chez Cloître et encore plus en cette période de fêtes, allez on vous en raconte encore un peu plus 😉
Pauline et son frère, Guillaume, ont grandi avec la passion de leur papa pour les camions et le transport, sans pour autant qu’il y ait d’obligations ou de pressions quelconques pour reprendre l’entreprise, nous assure Pauline. Leurs parents, Patrick et Michelle leur ont inculqué 2 principes fondamentaux à leurs yeux : ÊTRE LIBRE et RÊVER.
« Papa ne parlait pas des transports PELÉ à la maison, pourtant il n’était pas rare que nous partagions notre dîner avec des salariés. La maison a toujours été un lieu serein et aimant où les soucis liés au travail n’avaient pas leur place. Les transports PELÉ, c’est une grande Famille ! »
Pauline raconte
Pauline et Guillaume étaient dans l’entreprise lors des rachats des transports GENDRON en 2013 et GUIVARCH en 2018. Ils ont été acteurs de ces étapes importantes pour l’entreprise et ont ainsi pris la relève de Patrick en Mars 2020.
Ils s’appliquent à honorer leur héritage et à faire perdurer les valeurs de l’entreprise : « Respect, Entraide, Constructif et Pérennité » avec une petite touche de modernité.
C’est justement lors de cette passation, que la BD PELÉ a été offerte comme un symbole à Patrick PELÉ, par ses enfants.
Transport Pelé et Cloître Imprimeurs :
Cloître a eu le plaisir d’être choisi pour imprimer les 1000 exemplaires de cette BD évènement, sur ses presses numériques.
Pauline explique que la question du choix de l’imprimeur ne s’est pas posée, que le lien avec Cloître est présent et fort depuis des années. Il y a la proximité territoriale d’une part, mais aussi et surtout une relation humaine.
« On se retrouve en Cloître, c’est une imprimerie libre, innovante et faite de passionnés. »
Pauline
Tout comme Patrick PELÉ, on en redemande ! À quand le tome 2 ?
Pour en savoir plus
1000 brochures piquées en 240 x 240 mm – format à la française
Sur du papier Offset PEFC 300g/m² couverture et 170g/m² pages intérieures
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Il arrive bien souvent chez Cloître de tomber sur des réalisations quisuscite l'intérêt, celle dont je vais vous parler aujourd’hui était au stade de prototype et déjà particulièrement prometteuse, j’ai nommé « Re-garder : le marc de café » de Sidonie Bancquart - Maison Lakaleau.
Sidonie n’est pas inconnue dans le monde de l’édition, bien loin de là. Voilà 22 ans qu’elle représente une quinzaine d’éditeurs via son agence Sea of Stories. Notre autrice du jour est une créative, une amoureuse du livre, une personne qui déborde d’idées, d’énergie, d’enthousiasme et de vitalité.
La naissance du projet :
L’idée de sortir un livre est née lors du 1er confinement suite au constat d'un monde de l'édition de plus en plus mercantile, trop souvent irrespectueux de notre planète et une réflexion sur le traitement de nos déchets et de leurs usages. Sidonie s’est demandée « Sur quel déchet n’avons-nous pas déjà écrit ou sorti un livre ? » ... Le marc de café, bien sûr !!!
Sidonie a commencé à se documenter, à chercher des recettes, à les tester et à les faire tester par sa famille, pour vous livrer toutes les astuces offertes par le marc de café à la maison comme au jardin :
« Ce livre est avant tout une aventure familiale, puisque tout le monde a mis la main à la pâte, de ma tante de 82 ans qui a réalisé une illustration, à mon mari et mes enfants qui m'ont aidée à trouver et tester toutes les recettes. »
Après 2 ans de gestation, Maison Lakaleau et son 1er livre « re-garder : le marc de café », voient le jour.
Une distribution différente !
Pour ce 1er projet, l’autrice a voulu travailler différemment, à petite échelle, en remettant la qualité et l’humain au cœur du projet, tout en essayant de respecter autant que possible notre environnement, d’améliorer notre empreinte au quotidien, de rendre notre vie plus verte en somme.
C’est donc en toute logique que Sidonie a souhaité sortir de la distribution traditionnelle d’un livre et cibler des drogueries, des concept stores, des épiceries fines… pour qu’il y ait une cohérence entre le produit et l’univers de vente. Ce magnifique ouvrage joliment illustré parCaroline Bizien, va être distribué dans de nombreuses grandes enseignes, telles que :
Vous l’aurez compris, cet ouvrage est décalé de par son contenu et sa forme ; c’est ce qui a plu à notre Print Exploreur Cloître, Thierry Gourbet. Il y a vu tout le potentiel dès les premiers échanges avec Sidonie.
Cette dernière souhaitait une brochure :
Reliée à la suisse avec couture apparente en fil de couleur
Avec une couverture personnalisée pour 3000 exemplaires avec 2 rabats latéraux
Papier en 250g/m² Offset pour la couverture et 150g/m² Offset pour les 144 pages intérieures.
Pliage des 2 rabats avec le rabat de la page 1 vers l’extérieur et celui de la page 3 vers l’intérieur.
Sidonie raconte :
« Je vis à Bordeaux et ai fait appel à plusieurs imprimeries dans ma région et en France. Cloître est la seule imprimerie à avoir voulu m’accompagner dans ce projet et répondre à mes demandes. On pourrait certes les qualifier d’un peu farfelues mais le résultat me prouve que j’ai eu raison d’y croire et de croire en cette imprimerie finistérienne. »
Sidonie ne s’est pas arrêtée à cela, elle a souhaité que chaque exemplaire soit numéroté et a voulu une couverture avec une couleur différente pour chacun des 2000 exemplaires.
Notre responsable Pré-Presse, Daniel Roudaut, a répondu à cette demande avec brio pour le plus grand bonheur de Sidonie. Qu’à cela ne tienne, elle en a demandé 1000 exemplaires supplémentaires avec 1000 autres couleurs et numéros, pour un tirage total de 3000 exemplaires.
L’objectif étant celui de rendre unique chaque impression de ce livre de recettes, comme un livre de grand-mère qui se transmet précieusement de génération en génération.
« Ce que j’ai aimé chez Cloître, c’est le côté humain, le fait que les équipes se soient mises en 4 pour répondre à mes souhaits, la démarche RSE, les papiers offset PEFC, FSC… c’est un tout qui m’a séduite. »
Comme dit Thierry : « il n’y a pas de problème, il n’y a que des solutions ! »
« On s’est trouvé avec Thierry, on s’est compris. On a réfléchi ensemble à penser le livre différemment et à traiter cet ouvrage comme un objet unique.
Ce livre est une véritable aventure humaine avec mes enfants, mon mari, mon oncle, ma tante et les équipes de Cloître. Je suis chanceuse de pouvoir faire ce que j’aime et de faire de si belles rencontres. »
Comme dit Alain Ducasse en parlant de son "café juste", je vous propose "juste un livre, mais un livre juste" :
Juste,
par son contenu, ses recettes et son approche,
par sa fabrication de qualité, française et respectueuse de l'environnement,
par l'aventure humaine, familiale et sociale (ESAT) qui accompagne sa réalisation,
Et enfin par sa transmission.
Re-garder : le marc de café, n’a pas fini de faire parler de lui, chez Cloître nous en sommes tous convaincus.
On vous souhaite un succès retentissant ! ⚡
Pour en savoir plus
Vous pouvez suivre les aventures de Sidonie et de son livre « re-garder : le marc de café » sur Instagram : @re__garder et sur le site internet : https://www.re-garder.com/
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Voilà une interview qui n’était pas prévue mais Cloître est toujours partant pour une belle histoire et ce n’est pas Jean-Luc Roudaut, chanteur depuis 40 ans qui nous dira le contraire.
Le projet solidaire
Tout a commencé avec une équipe de choc, Jean-Luc Roudaut (auteur, compositeur et interprète), Martine Kerrien (à la tête de la maison d’édition et de production Brennig Productions) et Caroline Vaireaux (autrice, illustratrice de « l’attrapeur de rêves » et psychologue) animée par l’envie commune de faire de leur nouveau conte musical « l’attrapeur de rêves », un projet solidaire.
Pour concrétiser ce projet, Martine a lancé une campagne de crowdfunding via Ulule avec à l’arrivée 3407€ de contributions soit un dépassement de 13% de l’objectif fixé.
La solidarité ne s’arrête pas là !
En effet, il a été proposé à tous les acheteurs de « l’attrapeur de rêves » une contrepartie solidaire, soit l’achat de deux livres-CD, l’un à s’offrir et l’autre à offrir à un enfant hospitalisé grâce à un partenariat avec l’association de Guiclan (29) Grain de Sel .
La générosité des internautes, complétée d’une dotation de Brennig Productions, a permis de donner 70 livres à l’association qui les distribuera aux enfants accueillis dans différents services de l’hôpital de Morlaix à la rentrée.
Ce conte est remarquablement illustré au pastel par Caroline Vaireaux.
Il invite à explorer l’univers du sommeil et des songes via la rencontre inattendue entre Elliot, un jeune garçon que le marchand de sable a oublié d’endormir, et Sirius, un attrapeur de rêves débutant.
À l’aide de son étrange baguette en forme d’attrape-rêves, Sirius a l’importante mission de pourchasser les cauchemars des enfants chaque nuit.
Les deux héros de l’histoire vont ainsi traquer dragons, sorcière, ogre, délivrant au passage un message de tolérance, d’humanité et de remise en question des stéréotypes.
Enfin, s’ajoute à cela, six chansons concoctées par Jean-Luc pour illustrer le conte. Sur le CD, vous aurez le plaisir de retrouver sa voix chaleureuse mais aussi celles des enfants de l’école Sainte-Anne de Crozon, de leur enseignante Séverine et des habitants de la presqu’île de Crozon.
Quand on vous disait que « l’attrapeur de rêves » est un joli projet solidaire !
L'attrapeur de rêves et Cloître Imprimeurs
Pour Martine et Jean-Luc, c’était une évidence que ce si beau projet puisse prendre vie sous les presses Offset traditionnelles de Cloître.
«Nous travaillons depuis longtemps avec Cloître. Il y a une relation de confiance, de qualité, de convivialité, de proximité qui s’est créée avec les équipes.
C’est rassurant et essentiel d’avoir les mêmes interlocuteurs disponibles et qui veillent à la tenue des délais, à une rapidité et une qualité d’exécution. Ça nous tenait à cœur que toute la conception de ce conte soit faite localement et qui mieux que Cloître, une entreprise de St Thonan, à haute valeur humaine et soucieuse du développement durable, pouvait répondre à ce cahier des charges ! »
Pour en savoir plus
Une bien belle histoire qui saura séduire et enchanter un large public (de 4 à 99 ans) à travers le livre et le CD d’une part, mais aussi à travers les représentations prévues dans le Grand Ouest à partir de la fin d’année. (Cliquez-ici pour plus d’informations).
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Le projet
À l'occasion de la diffusion de « Twomorrow » dans les 100 Cultura de France, Cloître a souhaité faire un focus sur un couple d’aventuriers des temps modernes, les auteurs de cet ouvrage : Célia Poncelin et Léo Primard.
Cette aventure et ce livre « Twomorrow » ont germé dans leurs têtes lors du 1er confinement. Ils ont eu une prise de conscience. Celle de l’urgence d’agir, d’opérer la transition écologique, de mettre du sens dans leur vie pour bien vivre, de trouver leur Everest personnel, en somme trouver leur « Ikigaï ».
« L’Ikigaï », c’est l’association entre : « ce pourquoi vous êtes doué » + « ce que vous aimez faire » + « ce dont le monde a besoin » + « ce pourquoi vous êtes payé ». 4 valeurs sont ainsi mises en lumière : Mission + Vocation + Profession + Passion.
Forts d’avoir construit leur « Ikigaï », Célia et Léo ont développé leur projet, celui de faire un tour d’Europe des solutions au changement climatique !
L’ampleur de la tâche est immense… Qu’à cela ne tienne, dès Octobre 2020, Célia et Léo montent une boîte à deux :
Ils lancent une campagne de financement participatif sur Ulule et un site internet.
Ils trouvent un parrain, Matthieu Tordeur (aventurier, conférencier, écrivain).
Ils aménagent leur van : "Eugène".
Ils communiquent via les réseaux sociaux, des podcasts, des conférences dans des écoles, des lieux alternatifs, des tables rondes… dans l’objectif de sensibiliser le plus grand nombre à leur projet écologique.
En parallèle, Célia et Léo préparent leur périple à travers 26 pays. Ils sélectionnent 2000 entreprises qui façonnent un monde plus durable, dans les domaines stratégiques de l’énergie, de l’alimentation, de la mobilité, du numérique, etc… afin de leur proposer une visite et de les interviewer. Twomorrowun travail de titan en seulement 7 mois.
Le top départ d'une grande aventure est donné.
En avril 2021, ils étaient fin prêts pour un voyage de 5 mois à travers l’Europe et l’histoire a commencé à s’écrire quotidiennement à 4 mains.
L’intitulé de leur revue « Twomorrow » signifie littéralement « deux demains » : celui dans lequel on subit et celui dans lequel on agit. Inutile de vous préciser «quel demain» Célia et Léo ont choisi.
Ils ont interviewé 17 entreprises, soit 25h de travail de rédaction pour chacune. L’objectif premier était celui de creuser les sujets autour de l’écosystème, de l’écologie, de grandir, de se rebooster et de se dire que « Tout n’est pas perdu et qu’on peut encore agir ».
Cette revue est une mine d’informations pour amener à une prise de conscience, pour sensibiliser et aider à œuvrer chaque jour à notre mesure.
Twomorrow et Cloître imprimeurs
Cloître est fier d’avoir été choisi pour l’impression de la 2nde édition de « Twomorrow », à la fois pour l’engagement porté mais aussi pour le superbe ouvrage qu’il constitue, remarquablement clair, écrit et illustré.
Célia et Léo se sont tournés vers Cloître pour plusieurs raisons :
« Le sérieux, le conseil, le papier, la transparence devis/fabrication, l’humain, la bienveillance, l’écoute et la mentalité de l’entreprise – Toutes ces qualités sont des bonus pour nous ».
« On a le sentiment que l’accompagnement fait sur la création, sur les aspects très techniques pour des néophytes, ainsi que l’envie de transmettre ont complété notre apprentissage ».
Que de chemin parcouru en moins de 2 ans… Cloître vous souhaite le plus grand des succès, des rééditions de « Twomorrow » à n’en plus finir et un immense Bravo pour votre engagement !
Vous êtes tout simplement admirables !!!
Le livre
2ème tirage en Avril 2022 de 2000 brochures de 256 pages, réalisées par Cloître Imprimeurs et distribuées dans tous les Cultura de France et dans des dizaines de librairies indépendantes.
Vous pouvez suivre leurs aventures via Instagram: @twomorrow_project ou bien encore acheter votre revue Twomorrow sur le site internet : twomorrow-project.com.
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[post_excerpt] => Célia Poncelin et Léo Primard ont souhaté faire appel à Cloître pour l'impression car :
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Le projet
C’est tout en simplicité et générosité que Sophie DENIS, à la tête de la maison d’édition VIVRE TOUT SIMPLEMENT, s’est prêtée au jeu de l’interview Cloître.
Sophie est l’autrice et éditrice de son 30ème livre : LA BAIE, surf en pays bigouden aux éditions Vivre tout simplement.
Elle y fait la part belle au surf via 14 portraits intimes d’assoiffés et mordus de surf, qui ont ce sport dans le sang. Que dis-je un sport ? Non pas que, c’est un état d’esprit, une philosophie, un mode de vie, un équilibre. C’est avec liberté, générosité et passion qu’ils se sont confiés.
Sophie a voulu comprendre l’engouement que ce sport suscite. Mettre en exergue la culture surf et l’association inconsciente et générale que nous faisons du surf avec le littoral. En somme, la dynamique du littoral bigouden insufflée par des amoureux de la vague.
La rencontre avec Thomas Joncour a été le réel point de départ de cette belle histoire. C’est lui qui a mis l’éditrice en relation avec le monde du surf. Par ailleurs un monde qui peut être un peu intimidant pour une néophyte.
Elle a aussi pu compter pour la réalisation de ce livre, sur la bienveillance et l’expérience de 3 profils différents : Didier Tirilly (Co fondateur de l’École de Surf de Bretagne et du Pôle Espoir), Gilles Romigou (pionnier du surf depuis la fin des années 70) et Rolland Boëdec (free surfeur depuis 40 ans).
Ils sont tous unanimes, le surf c’est une famille. Il s’y crée une solidarité, une reconnaissance entre les surfeurs. La notion du localisme est très forte ici, indissociable du pays bigouden » dixit Rolland Boëdec.
Il y a comme une connexion avec l’océan, mais plus que l’océan, c’est la vague. Et la vague, plus que le territoire. Gilles Romigou aime à dire que « la meilleure vague, c’est celle de demain !
Sophie et Cloître imprimeurs
Sophie Denis n’est pas à sa première édition, loin de là, c’est cependant la première fois qu’elle est autrice sur la totalité d’un livre. Ellea souhaité faire appel pour la 2ème fois à Cloître pour l’impression car :
"Je voulais me sentir en confiance et je connaissais la qualité du travail de Cloître pour mettre en valeur les magnifiques photos de Robin Aussenac et Ronan Pérennou.
Cloître est synonyme pour moi d’échanges très précieux, d’un accueil chaleureux,de professionnalisme et surtout d’une immense confiance."
L’édition fait appel au ressenti ! Sophie a l’envie de faire des sujets que les autres n’ont pas abordé. Pour elle, c’est proposer de l’original, répondre à une attente, mais ce qu’elle aime par-dessus tout, valoriser l’humain, la rencontre simple, en toute modestie.
Vous l’aurez compris, Sophie Denis est une passionnée et entre passionnés on se comprend, même lorsqu’on vient d’univers différents. On parle un langage universel qui est celui du cœur. Comme le dit si bien Sophie « le langage du cœur se reconnaît et se propage instantanément ! »
Le livre
On vous aura prévenu, à la lecture de « la Baie, surf en pays bigouden », une vague de sérénité et de bien-être va vous submerger !
On se joint à Didier Tirilly car nous en sommes convaincus : « ton bouquin va marcher ! »
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Qui est WEN2
À l’occasion de retirages de ces affiches sur les bars brestois cultes : le Vauban, le Comix, le Café de la plage et le Triskell …..
Gwendal HUET plus connu sous son nom d’artiste Wen2, nous a volontiers accordé de son temps pour une petite interview.
Pour commencer, Gwendal est brestois, un amoureux du Brest populaire et punk, de ses petites ruelles, des gens qui vivent et animent cette ville.
Brest, c’est son port d’attache, son inspiration, son terrain de jeu.
Très jeune, sa passion pour le dessin, son culte pour le vaisseau d’Albator et sa pratique du skateboard et du basketball…l’ont amené à la rue, au street, aux cultures urbaines.
Gwendal s’oriente alors après un BAC Arts Appliqués à Brest, vers un BTS Architecture d’intérieure à Strasbourg. Après une formation en infographie à Lyon il y travaillera en tant que designer de jeux vidéo.
Il revient en territoire brestois à 24 ans après 5 ans d’absence. Il commence à graffer au skatepark de Plougastel-Daoulas, puis sur les murs de Brest et se fait un nom en tant qu’artiste: WEN2.
WEN2 et Cloître imprimeur
En parallèle de cette passion pour le graff, Gwendal occupe un poste de graphiste dans une agence de publicité à Brest, Réponses Associées.
La gérante et coloriste, Béatrice TABURET a aiguisé chez lui son goût pour la couleur, « la couleur doit avoir du sens » dit-elle.
C’est en ce sens que Gwendal a commencé sa collaboration avec nous et que Cloître est devenu l'imprimeur de WEN2, dans sa quête d’un CMJN « parfait ».
Un niveau d’exigence colorimétrique relevé depuis près de 20 ans par les équipes de Cloître lors des nombreux tirages papiers des œuvres de WEN2. Une relation de confiance s’est donc établie et Gwendal peut même se targuer d’avoir un papier WEN2, le Tintoretto.
C’est ce papier fabriqué à partir de pâte à papier certifiée FSC marqué feutre sur les deux faces que demande Gwendal pour ses impressions et qui est devenu un papier de référence pour bon nombre d’artistes.
Wen2, l’artiste brestois qui monte !
Les expositions, manifestations s’enchaînent : Le Spote à Brest qui a connu un succès immense avec 20 000 visiteurs, le Just Do Paint à St Brieuc, Djerbahood en Tunisie… Et WEN2 fait parler de lui.
En janvier 2021, Medhi de la galerieItinerrancesituée dans le 13ème à Paris qui s’insère dans un tissu urbain en pleine expansion culturelle, contacte l’artiste brestois.
Pour WEN2, c’est le début de la reconnaissance à l’échelle nationale et internationale. Il rentre dans la cour des grands et réalise une fresque dans le 13ème proche de la place d’Italie, à côté de grands noms tels que : C215, Obey Shepard, Maye, Seth et bien d’autres.
Enfin le 11 mars dernier, WEN2 voyait 11 de ses gigantesques toiles exposées à la galerie Itinerrance, dont 10 ont été vendues dans la journée. L’exposition est en place jusqu’au 15 avril prochain.
Pour conclure WEN2 s’amuse à dire que les phares l’ont lancé !
Grâce à son art, il voyage : Varsovie, Québec, Djerba, Denver... et vit un rêve éveillé.
Bon vent à toi, c’est bien mérité !
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[post_excerpt] => Cloître est l'imprimeur de "WEN2", artiste Brestois, amoureux de la ville de ses petites ruelles, des gens y vivent et qui l'animent
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On ne va pas se le cacher : Quand on a été biberonné au digital, essayer de créer du contenu pour le print, c’est quand même galère !
Il faut penser fond perdu, zone tranquille, CMJN, fausse-double, résolution d’image… Et encore, on ne parle ici que des contraintes fichiers. Parce qu’il faut aussi penser au type de support ou de papier à employer, contacter un imprimeur, lui demander son devis, valider les délais, gérer les BAT…
Alors que, dans le monde digital, une fois une créa validée, elle peut être partagée quasiment immédiatement ! Dans ces conditions, il est tout à fait logique de préférer le digital au print. D’ailleurs, cette tendance s’est tellement généralisée, qu’il devient de plus en plus rare de trouver des compétences capables de maitriser à la fois ces 2 médias de communication.
Du coup, quand on a aligné toutes ces contraintes, il est naturel de se demander pourquoi on imprime encore aujourd’hui.
Eh bien tout simplement parce que le support physique, dans bien des domaines, reste le média de communication le plus efficace !
Rien de mieux en effet qu’un beau livre pour vivre une expérience de lecture confortable.
Génial l’effet émotionnel d’une carte de vœux qui nous montre tout l’intérêt que nous porte son expéditeur.
Inégalable l’impact d’un journal interne papier que l’on va prendre le temps de feuilleter (ou que l’on va feuilleter lorsqu’on aura le temps !) alors même que son équivalent digital finira souvent à la corbeille sans même avoir été lu.
Enthousiasmante la documentation de ce produit que l’on rêve d’acheter. Rien que de la montrer à nos amis, nous donne déjà un sentiment de fierté et de « propriété »…
La liste est longue où l’usage du print montre sa supériorité.
Mais alors, une fois que l’on a dit tout ça, que fait-on ?
Eh bien nous chez Cloître, nous vous accueillons avec bienveillance, quelques soient vos compétences en matière de print. Nous sommes là pour vous aider, vous conseiller, vous former.
Un projet print ? Nous sommes à vos côtés pour étudier les différentes solutions qui vous permettront d’atteindre vos objectifs :
Vous vous lancez sur la réalisation d’un premier catalogue ? Envoyez-nous vos premières pages et nous vous dirons si vous êtes dans la bonne direction.
Vous ne savez pas sur quel papier votre impression sera la plus pertinente ? Nos nuanciers papiers, commentés par nos conseillers print, vous ouvriront le champ des possibles.
Vous cherchez une idée innovante pour créer de l’impact ? La veille que nous réalisons au quotidien sur les nouveaux supports, sur les nouvelles technologies va booster votre créativité.
Vous voulez exceller en print ? Pas de soucis, nous vous proposons les modules de formation qui vous permettront de devenir des experts.
Vous le voyez, ce n’est pas parce que nous sommes le premier imprimeur de Bretagne que nous nous voilons la face. Oui, imprimer c’est compliqué. Mais, en même temps, c’est tellement impactant.
Ne faisons pas de choix par défaut.
Sélectionnons le média adéquat, non pas à cause de sa facilité de production, mais bien en fonction de son efficacité. Un jour le digital, le lendemain le print, le surlendemain le print + le digital… Notre ambition, devenir le partenaire qui vous rendra ce choix facile en mettant à votre disposition les compétences dont vous avez besoin, et quand vous en avez besoin.
Print différent, c’est loin d’être chiant !
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[post_content] => Après plus de 3 ans d’existence, l’imprimeur que nous sommes constate encore très souvent que nos clients ne connaissent pas la taxe Citeo appliquée sur les papiers. En ce début d’année, un petit rappel peut paraitre donc plus que nécessaire d’autant plus que nous sommes dans la période de déclaration (déclaration en ligne à faire avant le 28 février 2021).
La taxe Citeo, qu’est ce que c’est ?
Il y a bien longtemps, en 1972, le concept de « pollueur-payeur » a été défini par les pays membres de l’OCDE. Ce principe édicte que les acteurs économiques doivent prendre en charge les pollutions générées par leurs activités.
En 1992, en France, à l’initiative de Antoine Riboud, président de BSN (ancien nom de Danone) et de Jean-Louis Beffa, président de Saint-Gobain, Eco-Emballages est créée sous forme d’entreprise à but non lucratif pour lancer l’application de ce principe. Les entreprises qui commercialisent des produits dans un emballage doivent s’acquitter d’une taxe et la verser chaque année à Eco-Emballages. Les budgets ainsi récoltés doivent permettre le financement de campagnes destinées à éduquer les français aux gestes de tri et à favoriser les filières de recyclage de ces déchets. On parle de Responsabilité Elargie des Producteurs (REP).
Quelques années plus tard, en 2006, Ecofolio a été créé pour mettre en place la REP au niveau des papiers cette fois-ci. Après le secteur de l’emballage, le législateur décide d’imposer la prise en charge de la fin de vie des produits aux opérateurs du secteur papier.
L’éco-organisme Ecofolio a comme vocation d’être un expert des problématiques de recyclage. Tout comme son homologue Eco-Emballages, son rôle est de faire évoluer le geste de tri des français en matière de papier, de financer les investissements des collectivités en ce sens. Pour cela une éco-contribution est demandée aux « metteurs sur le marché » de plus de 5 tonnes par an de papier.
En 2017, Eco-Emballages et Ecofolio se regroupent sous une même entité : CITEO.
L’ambition de cette entreprise à mission est triple :
financer les collectivités pour les aider à améliorer la collecte, le tri et le traitement des vieux papiers,
piloter des programmes de recherche pour développer l’éco-conception et développer de nouvelles filières de recyclage,
informer et sensibiliser au geste de tri via des campagnes de communication.
En 2019, 57 % des papiers sont ainsi recyclés en France (1249 Ktonnes), soit 19 kg par habitant.
Qui est concerné par la taxe Citeo ?
Toutes les entreprises, collectivités et associations qui émettent plus de 5 tonnes annuelles cumulées de papiers sur le marché français à destination des utilisateurs finaux sont impactées par le paiement de cette éco-contribution.
Quels papiers sont concernés ?
Seuls les papiers de plus d’un grammage de moins de 225g/m2 sont impactés.
Est-ce que tous les supports sont concernés ?
Non, un certain nombre de supports n’ont pas à être déclarés : les livres, les calendriers, les agendas, les cartes postales, les étiquettes auto-collantes, les cahiers ou blocs-notes, les cartes à jouer, le papier photo, les tirages de plan, le papier calque n’entrent pas dans le calcul des poids émis sur le marché.
Les documents pour l’exportation ne sont pas non plus à déclarer. Leur recyclage se fera dans le pays de destination.
Le papier que vous utilisez pour vos photocopieurs n’est pas à déclarer par vous. C’est le fabricant de ces papiers qui est soumis à la REP et donc la contribution.
Que veut dire « éco-modulation » ?
Citeo veut encourager les pratiques vertueuses. Il a donc été mis en place un système de bonus-malus qui va impacter le montant de la contribution de base en fonction de plusieurs critères.
L’origine de la fibre de papier :
recyclé (+ de 50%) est encouragé par un bonus de 10%
certifié (issue de forêt gérée durablement) est neutre
non recyclé (-50%) ou non certifié enregistre un malus (15 % en 2021)
L’affichage Triman :
Si vos documents portent le logo Triman (symbole de recyclabilité du papier, obligatoire depuis 2015), vous bénéficiez d’un bonus de 5% sur votre contribution. Pour en savoir plus sur comment appliquer les logos Triman sur vos documents print et découvrir la charte Triman, n'hésitez pas à vous référer à notre fiche technique.
la présence d’éléments perturbateurs au recyclage,
un papier teinté masse ou kraft génère 5% de malus,
l’impression en UV ou HUV, en jet d’encre, en flexographie entraine 5% de malus,
la présence de colle : colle au pli, colle fugitive, sauf colle PUR pour dos carré collé (5% de malus),
la présence d’éléments non palpables ; insert, plastique, vernis UV (5% de malus).
La présence d’éléments perturbateurs au recyclage :
un papier teinté masse ou kraft génère 5% de malus,
l’impression en UV ou HUV, en jet d’encre, en flexographie entraine 5% de malus,
la présence de colle : colle au pli, colle fugitive, sauf colle PUR pour dos carré collé (5% de malus),
la présence d’éléments non palpables ; insert, plastique, vernis UV (5% de malus).
Rassurez-vous, pour une même catégorie de produits, vous ne cumulez que 3 malus maximum !
Vous avez l'obligation déclarer vos impressions selon ce tableau d'éco-modulation, si vous mettez sur le marché plus de 25 tonnes de papiers. Si c’est moins, vous pouvez faire une déclaration simplifiée, mais un malus de 5% vous sera appliqué sur votre contribution de base.
Vous êtes dans le domaine de la presse (1 parution par trimestre au moins) ? Un 4ème critère est intégré : la distance parcourue par le papier entre son lieu de fabrication et le lieu de stockage des exemplaires est intégrée dans le calcul de l’éco-contribution (distance >1500 km). La notion d’affichage des caractéristiques environnementales de votre publication est également plus élaborée. Dans ce cas, il est nécessaire de consulter précisément le guide de déclaration de la presse.
Comment faire sa déclaration ?
Assurez-vous d’abord que vous êtes proches ou au-delà des 5 tonnes émis sur le marché (les documents non distribués ou invendus ne sont pas à prendre en compte).
Pour ce faire, demandez à votre imprimeur de vous envoyer le tableau des poids pour l’année selon si possible les critères d’éco-modulation, vous gagnerez du temps.
Cloître met à disposition ce tableau à chaque client qui nous le demande dès le 10 janvier de chaque année.
Si votre calcul valide le seuil limite, vous devez faire votre déclaration en ligne sur le site www.citeo.com avant le 28 février 2021.
Quel est le montant de la taxe Citeo au titre des papiers mis sur le marché en 2020 ?
Pour 2020, elle est de 58€ la tonne (à partir de la 1ère tonne mise sur le marché).
Les documents papier, comme tous les supports physiques, peuvent bien sûr être porteurs de bactéries. Ce n’est pas en soi une information inédite, mais dans une période où le public est en proie à une phobie sanitaire, le sujet mérite d’être creusé.
D’autant que, sur ce sujet comme bien d’autres, l’industrie des arts graphiques fait actuellement encore la preuve de son sens de l’innovation en proposant des vernis et pelliculages antibactériens. Il ne faudrait pour autant pas que la promotion de ces substrats ne joue in fine contre le papier qui pourrait ainsi être pointé du doigt comme étant un facteur de communication des virus.
Vernis et pelliculages antibactériens, le choix existe
Varcotec, fabricant basé à Stuttgart, a développé en collaboration avec l'Université allemande de Regensburg un vernis antimicrobien, le Galaxy Lock 3. Il semble que ce soit à ce jour le seul vernis fiable applicable sur des matériaux absorbants tels que le papier et le carton.
Le vernis à base d’eau possède une fonction antimicrobienne activée par l'oxygène et la lumière du jour ou la lumière artificielle. Le processus de stérilisation photodynamique permet d'inactiver les germes pathogènes - bactéries, virus, champignons et spores - et est efficace pendant au moins un an.
Ce principe a été testé cliniquement par des instituts indépendants (Quality Labs, Fraunhofer et Eurovir) qui ont montré une réduction efficace des germes jusqu'à 99,9% (selon la norme ISO 22196). Nous précisons néanmoins qu’aucun test Covid-19 n’a été spécifiquement réalisé.
Le Galaxy Lock 3 existe en brillant, mat et satiné, et est applicable par les imprimeurs comme un vernis acrylique en 1 couche, ou 2 pour les papiers non couchés.
Côté pelliculage, Derprosa, un industriel espagnol, a décidé en mai de relancer la production de films antibactériens qui avaient été supprimés de son offre. Les pelliculages Bacterstop existent en brillant et en mat. Ils s’appliquent sur tous les types de supports papiers et cartons et ont les mêmes propriétés mécaniques que les films « conventionnels » du fabricant.
Leur principe antibactérien a également été testé par des laboratoires indépendants qui ont confirmé une efficacité supérieure à 99% contre tout type de bactéries (selon la norme ISO 22196). Dans ce cas également, aucun test spécifique Covid-19 n’a été effectué.
Pour chacune des 2 solutions, vernis et pelliculage antibactériens, des certificats sont disponibles pour attester de leur efficacité.
Pour quels usages ?
Les applications sont nombreuses pour ceux qui souhaitent afficher une totale protection de leurs documents contre les bactéries, dans des environnements ou auprès de clients dits « sensibles » : hôpitaux, lieux publics, salons, opérations de street marketing, packaging, seniors…
Le sujet est sans limites et nous pourrions quasiment énumérer toutes les familles d’imprimés papiers ou cartons.
Pour autant, cette frénésie de sécurité sanitaire a-t-elle touché d’autres champs de notre vie quotidienne ? Lorsque nous faisons nos achats de vêtements, de produits alimentaires, d’outils… trouvons-nous une offre garantie anti Covid ? Bien sûr que non.
C’est certes un plus de pouvoir disposer de solutions sanitaires dans notre métier du print mais est-ce réaliste de vouloir l’appliquer à tous nos documents imprimés ?
« Covidwashing » ou pas ? La question reste posée.
Si chaque imprimeur est naturellement sollicité par ses fournisseurs, si ces solutions qui font actuellement le buzz interpellent de plus en plus les donneurs d’ordre, est-il réaliste de basculer ses impressions vers ces types de finition ?
Du point de vue sanitaire, un certain niveau de protection est garanti même si aucun test spécifique n’a été réalisé sur le coronavirus. Il faut donc être prudent sur les informations sanitaires portées sur les produits imprimés.
D’un strict point de vue technique, il n’y a aucun obstacle infranchissable. On peut en effet sans mal remplacer un pelliculage ou un vernis standard par son équivalent en antibactérien. Sur les documents qui habituellement n’avaient pas de protection, on peut également ajouter la finition antibactérienne la plus adaptée au support.
Et du côté des imprimeurs ?
Il faudra trouver le fournisseur qui propose ces types de substrats en en acceptant les contraintes industrielles. Si passer en production d’un type de vernis acrylique ou de pelliculage à un autre n’est pas très compliqué, ce qui pose problème c’est la durée de vie du produit.
Une bobine de pelliculage avec un traitement de surface spécial est bonne à jeter au bout de quelques mois. On imagine bien qu’aucun industriel ne risquera d’acheter ce type de matière s’il n’a pas la garantie de pouvoir l’écouler ou de pouvoir répercuter son prix d’achat sur les quelques marchés qu’il aura à traiter.
Quelle élasticité prix envisagent les clients potentiels ? Ils peuvent se dire que le « qui peut le plus, peut le moins » et seraient tentés de mettre de l’antibactérien partout. Si l’écart de tarif est trop important comparé à une production classique, les velléités du 100% safe risquent probablement d’être mises à mal…
Du coup, le sujet reste entier. Il existe des solutions et notre premier devoir est d’en informer ceux qui pourraient en avoir l’utilité, en espérant que tout ce battage médiatique ne jouera pas contre le papier. Mais quels seront les véritables débouchés et quelles seront les vraies applications industrielles ? Les seuls effets d’annonce que nous voyons fleurir en ce moment se heurteront probablement à une certaine réalité économique. Il n’en demeure pas moins que l’enjeu est véritable et que l’objectif n’est pas seulement de surfer sur l’effet Covid-19. Nous saurons conseiller nos clients pour trouver la solution la plus adéquate à leur projet.
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[post_content] => Écrire cet article en pleine pandémie pourra faire sourire, et pourtant… Plus que jamais, nous avons besoin de rester constants en matière de respect des valeurs et des engagements.
Le logo Imprim’Vert ®, un élément de reconnaissance visuelle pour vos documents
On peut se poser la question de l’utilité d’apposer le logo Imprim’Vert ®️ sur ses documents imprimés ?
En fait, le public est de plus en plus sensible à la démarche environnementale de l’annonceur. Et tous les professionnels s’accordent à dire que la communication se doit d’être plus « authentique » et plus « transparente » pour répondre aux nouvelles exigences des consommateurs ou des citoyens.
Si nous sommes persuadés chez Cloître (conviction partagée par bon nombre de communicants) que le support papier sera toujours un complément du digital, il devra néanmoins prouver encore et toujours son aspect environnemental. Mettre en avant le choix des papiers, la sélection d’un prestataire engagé avec notamment la marque Imprim’Vert ®️ ou une certification RSE sera un plus dans votre prise de paroles.
Une marque reconnue en Europe
Le label Imprim’Vert ®️ est une démarche qui vise à avoir une bonne gestion des déchets, à faire de la pédagogie autour de la maitrise des impacts environnementaux. Le périmètre s'arrête là !
Ce label est ainsi complémentaire de certifications papetières comme PEFC™ ou FSC®, de l’utilisation d’encres végétales sur les presses offset, de labellisations ISO 26 000 ou Lucie..
Aujourd’hui, Imprim’Vert ®️ est la «référence» dans le domaine de la protection environnementale de l’industrie des arts graphiques en France. Elle s’étend même en Europe… Dans le monde, seuls des pays comme le Japon ou les USA ont mis en place quelques mesures pour limiter la pollution des imprimeurs selon Matthieu Prevost, le délégué en charge du label.
En quoi consiste le label Imprim'Vert ®️ ?
Dans l’imprimerie, nous utilisons effectivement des encres, des vernis. Nous nettoyons nos machines avec des solvants. Nous utilisons des chiffons comme dans toutes les industries. Avec le label Imprim’Vert ®️, tous ces produits sont tracés.
Chaque année, Cloître répond ainsi à un cahier des charges précis basé sur 5 principes :
l’élimination conforme des déchets toxiques (chiffons, encres, solvants,..),
la sécurisation du stockage des liquides pour éviter d’éventuelles pollutions dans les sols ou dans l’air,
la non- utilisation de produits toxiques pour les salariés,
le suivi et la maitrise des consommations énergétiques
et la sensibilisation environnementale de ses parties prenantes
Pour pouvoir être labellisée Imprim’Vert ®️, l’entreprise est auditée physiquement tous les 3 ans. L’objectif est de vérifier que toutes les mesures sont bien appliquées au sein des ateliers.
Durant les 2 années intermédiaires, un contrôle administratif est réalisé à distance pour vérifier que la gestion des déchets est faite de façon règlementaire et que le suivi des consommations énergétiques est à jour.
Lorsque le contrôleur valide le dossier, l’imprimeur reçoit un diplôme et le logo millésimé qui lui permet de prouver sa conformité.
70 à 80 % des imprimeurs français sont Imprim’vert ® à ce jour
Officiellement, en mai 2020, 1832 imprimeurs disposent de la marque. Parmi eux, une cinquantaine d’entreprises européennes (belges, italiennes ou espagnoles) ont demandé l’adhésion à Imprim'Vert ® afin de pouvoir répondre à des appels d’offres français.
Si le nombre de détenteurs de la marque diminue chaque année, la cause en est bien sûr la fermeture ou le regroupement d’imprimeurs. Mais, l’autre raison, dans une moindre mesure certes, est que certains imprimeurs ne renouvellent pas leur certificat.
La fraude dans l’utilisation du logo Imprim’vert ® subsiste
Dans la mesure où le logo Imprim’Vert ®️ est surtout utilisé dans sa forme générique. Il est devenu facile de le laisser vivre sur ses documents ou sur son site sans se plier aux exigences d’un diagnostic annuel. Ce n’est pas le coût de ce label qui est en jeu (environ 200 € par an) à l’inverse de certifications comme PEFC™ ou FSC ®️ dont le coût est beaucoup plus onéreux.
Les raisons du non-renouvellement tiennent à l’impossibilité de se mettre à niveau des nouvelles exigences de la certification. Effectivement, il faut pouvoir suivre les évolutions de ce cahier des charges qui devient plus drastique régulièrement, sous l’impulsion des membres de son comité consultatif, à savoir l’ADEME et l’Agence de l’eau entre autres.
Chaque année, plusieurs appels d’offres ont dû être suspendus. Les donneurs d’ordre n’avaient pas exigé le diplôme Imprim’Vert ®️ ou le logo millésimé personnalisé du prestataire. Ils se sont rendu compte en cours de contrat que l’imprimeur n’était pas en règle.
Chaque année, Cloître met à jour son rapport RSE dans lequel figure son diplôme annuel pour assurer à nos clients l’actualisation réelle de sa labellisation.
[cta align="center"]Télécharger le rapport RSE[/cta]
Un nouveau logo pour renforcer la traçabilité Imprim’Vert ®
Pour afficher plus de transparence et dans une logique de sécurisation de sa marque. Le Pôle d’innovation de l’imprimerie (P2i), la structure qui gère Imprim’Vert ®️, a mis en place une version personnalisée et millésimée de son logo. Chaque imprimeur a un numéro.
En allant sur le site Imprim’Vert ®️, vous pouvez donc connaitre le nom de l’entreprise qui a réalisé le document et valider ainsi qu’il est en conformité avec le cahier des charges.
Peu usité encore, ce logo a le mérite d’exister. Vous pouvez donc le demander à votre imprimeur pour l’apposer sur vos documents et favoriser ainsi son usage vertueux.
En résumé, l’adhésion à Imprim’Vert ® constitue un critère incontournable pour choisir votre imprimeur. Cela n’est pas suffisant pour valoriser vos actions environnementales. Le choix du papier, du façonnage, la logistique, la prise en compte des usages de lecture…. et bien d’autres aspects encore sont à prendre en compte.
Vous souhaitez réfléchir à votre propre démarche d’éco-impression ? Cloître réalise des ateliers sur ce sujet depuis plusieurs années.
Notre programme du 2ème semestre 2020 sera disponible à la rentrée de Septembre !
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[post_content] => On vous le dit tout de suite : la majorité des fichiers PAO que nous recevons ne sont pas conformes ! En effet, il ne suffit pas de faire un PDF pour que celui-ci soit immédiatement imprimable. Afin de garantir une qualité optimale et des délais les plus courts possible, des règles simples peuvent être appliquées. Découvrez dès maintenant les 7 erreurs qui nuisent à la qualité de vos PDF d’impression.
Quel logiciel utiliser pour générer votre PDF d'impression ?
Depuis de nombreuses années, le PDF est devenu le format de référence en impression. Nous recevons donc des centaines de fichiers PDF au quotidien. Il est cependant important de noter que la qualité des fichiers diffère souvent selon le logiciel utilisé pour les réaliser.
Parmi les valeurs sûres, les logiciels de la Creative Suite comme Adobe InDesign, Illustrator ou encore Photoshop apportent un gage certain de qualité. Même constat pour Quark Xpress, qui reste un logiciel fiable malgré une perte de notoriété ces dernières années.
Nous recevons également des PDF générés depuis des logiciels de mise en page moins utilisés, comme Scribus, Microsoft Publisher, ou Pages sur Mac. Enfin, une part non négligeable des PDF reçus proviennent de logiciels plus exotiques, comme Microsoft Word, PowerPoint, Excel et autres bizarreries échappées du web.
Gardez bien en tête que la qualité de votre PDF dépendra en partie du logiciel utilisé. Un bon logiciel, dédié aux Arts graphiques, vous permettra d’intégrer tous les éléments dont votre imprimeur a besoin.
Voici, selon moi, les logiciels PAO à privilégier pour chaque usage :
Photoshop pour le traitement des images bitmaps
Illustrator pour le traitement des éléments vectoriels
InDesign (ou Xpress) pour la mise en page ou l’intégration des 3 éléments (textes, images vectorielles, images bitmaps)
Pourquoi vos PDF d'impression sont-ils souvent de mauvaise qualité ?
Comme annoncé en début d’article, la majorité des fichiers réceptionnés ne sont pas conformes, entraînant une perte de temps dans le traitement de vos dossiers. Voici les principales erreurs rencontrées, et la manière de les éviter.
Erreur 1 - Une mauvaise géométrie de votre fichier PDF :
C’est l’une des erreurs les plus courantes. Par méconnaissance ou par mauvaise maîtrise du print, de nombreux fichiers ne tiennent pas compte du fond perdu, ou encore de la zone tranquille.
Ce sont pourtant 2 éléments indispensables, qui vous garantissent une marge de sécurité lors de la coupe du document, ou lors des opérations de façonnage (pliage, assemblage, perforation…).
Je ne nous en dis pas plus, un précédent article vous éclaire déjà sur ces sujets.
Erreur 2 - L'exportation PDF en planche :
La plupart de nos clients ignorent l’une des étapes primordiales du prépresse : l’imposition. Lorsque nous réceptionnons vos fichiers, nous organisons les pages de votre document de sorte que le cahier réalisé lors du pliage soit correct.
Cette étape ne peut être réalisée qu’avec des pages dissociées les unes des autres. C’est pourquoi vous devez exporter vos fichiers en page à page.
Erreur 3 - La mauvaise qualité des images :
Et oui, contrairement au web où il est nécessaire de trouver le meilleur ratio poids de l’image / qualité, l’impression nécessite des visuels très qualitatifs.
Gardez en mémoire ceci : une image de qualité est une image à 300 dpi pour une échelle à 100 %.
N’agrandissez pas vos images à outrance et regardez de près vos PDF d'impression. N’hésitez pas à les imprimer sur votre imprimante de bureau pour déjà constater d’éventuels défauts de qualité.
Petite astuce : si vous utilisez Adobe Acrobat, sachez que ce logiciel renferme de nombreux outils, dont un qui vous permet de contrôler vos fichiers et la qualité de vos images !
Erreur 4 - Les polices non incorporées :
Afin d’augmenter l’impact de votre document, il peut être intéressant d’utiliser une police de caractères originale, voire de créer votre propre police.
Sachez cependant que nous ne pouvons imprimer un fichier présentant une police non incorporée. Il est dans ce cas probable que celle-ci soit substituée par une autre, modifiant ainsi tout l’affichage de votre document... pas terrible !
De plus, il est bon de se souvenir que si de nombreuses polices sont accessibles gratuitement sur internet, toutes ne sont pas pour autant utilisables à des fins professionnelles. C’est pourquoi certaines sont protégées et ne peuvent être incorporées.
Erreur 5 - Une mauvaise gestion des couleurs :
Là encore, il s’agit d’une erreur extrêmement fréquente auprès de personnes maîtrisant mal le print.
Lorsque vous réalisez un document destiné à l’impression sur vos logiciels PAO, pensez à travailler avec des couleurs CMJN, et non RVB ! En imprimerie, nous travaillons exclusivement en CMJN, le mode colorimétrique RVB étant réservé au web.
Le CMJN ne permet pas de reproduire toutes les teintes RVB. En travaillant en CMJN, vous pourrez correctement appréhender le rendu final de votre document imprimé.
Erreur 6 - Un écran non calibré et des couleurs désynchronisées dans la Suite Adobe :
Sachez que la majorité des écrans d’ordinateur possèdent des réglages d’usine non adaptés à simuler une impression papier CMJN.
Les paramètres diffèrent selon le modèle de l’écran, et peuvent interpréter de manière très différente les contrastes, la luminosité, les couleurs… ainsi, le rendu post-impression peut être très différent de celui visible sur votre écran.
Pour régler ce problème, le plus efficace consiste à « calibrer » votre écran, via une sonde professionnelle. Bien qu’onéreuse à l’achat, votre sonde vous évitera de nombreux problèmes de colorimétrie !
De même, n’oubliez pas d’homogénéiser les couleurs entre vos différents logiciels, qui doivent avoir le même paramétrage adapté à l’impression offset.
Erreur 7 - Ne pas maîtriser l'exportation PDF pour l'impression :
Il serait dommage d’avoir réalisé le fichier parfait pour, finalement, faillir lors de l’exportation.
Faites par exemple attention à ne pas aplatir les transparences. Privilégiez le PDF/X-4 :2010 (PDF 1.6) pour éviter un morcellement des éléments et rendre éditable le PDF.
Optez également pour :
un sous-échantillonnage des images à 300 dpi avec compression automatique et surtout qualité d’image maximum
un décalage des repères de 6 mm pour ne pas qu’ils parasitent la zone de fond perdu
la désactivation des gammes de couleurs qui, si elles font pros, nous « enquiquinent » en réalité plus qu'autre chose
Convertissez également les couleurs en CMJN vers la destination Fogra 39 ou plus récent Fogra 51 (PSOcoated_v3).
Enfin, pour une impression en quadrichromie, convertir tous les tons directs en CMJN pour un résultat conforme, sans rendu inattendu après traitement chez l’imprimeur.
Vous êtes désormais un pro des PDF d'impression !
Vous l’avez compris, faire un PDF est à la portée de tous, mais bien le faire demande de la rigueur.
Pour vous aider dans cette tâche, vous trouverez dans notre Espace Ressources des paramètres d’exportation prédéfinis à importer dans vos logiciels PAO. N’hésitez également pas à consulter nos nombreuses fiches techniques.
Que le bon PDF soit avec vous !
[cta align="center"]Découvrir l'Espace Ressources Cloître[/cta]
[post_title] => Les 7 erreurs qui pourrissent vos PDF d'impression !
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[post_content] => Si vous êtes récemment parti en vacances dans une ville touristique ou à fort patrimoine culturel, il vous a certainement été proposé de la découvrir au travers d'un jeu de piste. Car oui, rendre les visites plus ludiques est un véritable levier d'attractivité pour de nombreuses collectivités, qui font souvent le choix de jeux de piste sous un format numérique.
Au cours de cette interview, vous allez découvrir qu'il est possible de prendre le contre-pied grâce à Kizzy SOKOMBE et l'initiative prise par l'Île de Houezic. Un contre-pied qui se matérialise par un jeu de piste sur support papier, dans le but de rendre l'expérience encore plus riche et créative.
Bonjour Kizzy ! Pour commencer cette interview, pouvez-vous vous présenter en quelques lignes ? Nous savons que vous avez un parcours assez singulier...
Effectivement, mon parcours a été rythmé par plusieurs expériences. J’ai tout d’abord été photographe documentaire, en paysage et en architecture. Un métier qui m'a permis de beaucoup voyager. En 2012, j’ai développé ma propre activité en communication, le Studio CommLab, avec le souhait d'offrir une approche globale pour mes clients : graphisme, rédaction, création de site web, photographie... bref, je me suis diversifiée !
J’ai par ailleurs une véritable passion pour la mer et la course en bateau à voile, qui m’a amenée à m’installer en Bretagne dans le pays de Lorient, il y a plus de 10 ans. J’ai beaucoup navigué et alterné entre les missions de créatif indépendante, chargée de communication, technicienne ou monitrice de voile ! Cela m’a apporté un certain pragmatisme et une bonne souplesse.
Aujourd’hui, mes clients sont principalement des propriétaires ou des gestionnaires d’espaces naturels. C’est extrêmement gratifiant pour moi de travailler pour la sensibilisation et la mise en valeur de l’environnement, j’apprends énormément au contact des gestionnaires et des scientifiques, je ne sais pas si je pourrais travailler pour autre chose maintenant ! Ah si, les métiers de bouche (parce que je suis une vraie gourmet !) et la mer, bien évidemment !
Vous avez récemment réalisé un jeu de piste familial pour le Fort d’Hoedic. Pouvez-vous nous parler de ce projet et des premiers retours que vous avez pu avoir ?
Pour revenir à la genèse du projet, l’Association de Gestion du Fort d’Hoedic (majoritairement portée par le Conservatoire du littoral) avait déjà créé un jeu de piste familial pour faire découvrir l’Île d’Hoedic. A chacune des étapes, les joueurs découvraient une question ou une énigme à résoudre dans des enveloppes déposées sur place. L'idée de l'’association était d'améliorer l’expérience des joueurs, et de faciliter la mise en place du jeu.
Je leur ai donc proposé de mettre en page ce jeu de piste sous forme de carnet papier, avec des pages masquées à décacheter à chaque étape et avec une reliure spirale pour faciliter la manipulation en extérieur. L’idée était également d’en faire un objet que les visiteurs garderaient en souvenir de l’île, une sorte de goodies.
Le lancement du jeu de piste est récent, mais les premiers retours sont déjà très positifs, de la part de visiteurs, comme des Hoedicais ! C’est un carnet qui a plusieurs usages : jeu de piste, plan de l’île à réaliser, carnet de photo souvenir, une carte postale détachable… on en a déjà vendu plusieurs dizaines.
On voit aujourd’hui beaucoup de communes et de lieux touristiques réaliser des jeux de piste sur applications mobiles. Pourquoi avoir fait le choix d’un support imprimé et quels sont pour vous les avantages d'un jeu de piste papier ?
Il y a plusieurs avantages ! D’abord, le plus évident, c'est le coût. Selon le niveau de finition et la complexité de l’objet, on peut être sur des coûts de réalisation inférieurs au numérique.
Ensuite, le papier est accessible à tous. On a souvent tendance à oublier qu'il y a encore des gens qui ne possèdent pas de smartphones… le support papier permet de partager plus facilement le jeu en groupe, on a pas de problème de luminosité en extérieur, de manque de connexion ou de batterie. Un carnet, un crayon, un petit sac (livrés avec le carnet du jeu) et c’est parti pour faire le tour de l’île à pied !
L'expérience proposée est également beaucoup plus créative : il s’agit d’écrire des réponses sur son petit carnet et de réaliser des dessins sur le plan de l’île. Et support papier ne veut pas dire rejet du digital, car sur ce jeu de piste les joueurs peuvent partager leurs réalisations sur la page Facebook du Fort d’Hoedic et gagner un séjour…
Enfin, avec sa spirale et ses images à l’horizontale, le carnet pourra se poser sur le bureau au retour des vacances. On a donc un support matérialisé, un souvenir de l’île toujours visible, sans avoir à allumer un écran !
Pour terminer, et c'est plus personnel, j’ai une position un peu radicale sur les applications en espaces naturels. On passe tellement de temps devant nos écrans qu’il devient nécessaire de vraiment s’en couper pour entrer en relation avec la nature et l’environnement. Écouter des chants d’oiseaux inconnus, observer le paysage, se repérer instinctivement dans l’espace… Le support papier permet de rester dans une approche sensitive et manuelle. C’est ce que nous avons voulu privilégier ici, avec l’astuce des feuillets à décacheter à chaque étape : vivre une expérience sensible !
Les équipes de Cloître ont eu la chance de vous accompagner sur ce beau projet, à forte valeur ludique et culturelle. C’est toujours un plaisir pour nous. Plaisir partagé ?
Oui, bien sûr, plaisir partagé ! En début de projet, on a demandé plusieurs devis, différents papiers et façonnages de manière à optimiser les coûts pour mon client. L’équipe commerciale a été bien patiente dans ces allers-retours !
Ensuite pour valider notre papier et les choix de façonnage, votre commercial du Morbihan Marc a fait réaliser une maquette en blanc (une maquette avec le papier choisi, assemblé et pratiquement façonnée). Cela m’a permis de bien positionner mes fichiers par rapport aux plis, aux découpes, à la spirale et de voir le comportement du papier à la manipulation et la découpe manuelle.
En fin de projet, la maquette en blanc nous a beaucoup aidé à communiquer. Nous avions besoin de matérialiser l’objet avant l’assemblage (3 types de feuillets répartis en 2 grammages différents) pour la passation entre moi la graphiste, l’équipe commerciale, l’équipe technique puis le sous-traitant pour la reliure.
C’est agréable de sentir l’équipe à mon écoute, même s’il s’agit d’un projet à diffusion limitée sur une petite (mais magnifique) île de 2 km² !
Vous avez un projet de jeu de piste papier, ou d'autres supports de communication imprimée ?
Cloître est présent partout en Bretagne (Brest, Rennes, Vannes, Lorient, Quimper...) mais également sur Paris !
Toute notre équipe est à votre disposition pour discuter de vos projets et vous éclairer dans les bons choix papier à effectuer. N'hésitez pas à nous contacter, nous reviendrons vers vous sous 24h.
[cta align="center"]Contacter Cloître[/cta]
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Pourquoi réaliser des outils de fin d'année pour mes clients ?
Aujourd’hui, la relation commerciale est de plus en plus digitalisée : e-mails, demande de devis en ligne, chat ou encore social selling font désormais partie du quotidien de chaque professionnel du marketing et de la communication. A tel point que, parfois, on en oublie que la relation client passe aussi par le contact physique. Le papier trouve parfaitement sa place dans ce contexte, puisqu’il crée une relation tangible avec sa cible, faisant notamment appel à nos sens comme le toucher ou l'odorat. Créer du lien est le meilleur moyen de fidéliser.
C’est dans ce contexte que nous observons un véritable regain d’intérêt pour les outils de fin d’année. Vous savez, ces petites attentions d’un partenaire qui vous font faire sourire, et que vous conserver tout au long de l’année ? Ce peut-être une carte de vœux, un calendrier, ou bien de la papeterie personnalisée.
En tant qu’entreprise, il est donc primordial de bien préparer les fêtes de fin d’année et de penser aux outils que vous allez mettre en place pour vos clients. Avec un double enjeu : celui de fidéliser vos clients et vos partenaires importants, mais aussi de communiquer sur votre marque et votre image.
Dans ces moment-là, votre imprimeur préféré peut certainement vous accompagner et vous proposer de nombreux produits et cadeaux qui peuvent interpeller vos clients.
Quand commencer sa réflexion sur les outils de fin d'année ?
Le plus tôt possible dans l’année ! En général, les entreprises commencent à penser à leurs supports de fin d’année à partir de septembre / octobre.
Mais en tant qu’imprimeur, nous vous recommandons d’y réfléchir dès le début de l’été ! Cela vous permet de bien penser aux produits que vous allez sélectionner, de bien travailler leur conception, mais surtout d’éviter le rush que la plupart des entreprises subissent sur le dernier trimestre.
Plus le processus de conception et de réalisation est anticipé, meilleurs sont les résultats !
Pour vous inspirer, voici quelques supports pouvant être offerts :
La carte de vœux :
C’est certainement l’un des incontournables des fêtes de fin d’année ! A usage aussi bien B2C que B2B, la carte de vœux permet de remercier ses clients ou partenaires, tout en lançant la nouvelle année et les projets futurs. C’est également un point de contact important pour votre équipe commerciale et dans votre relation client.
De plus, la carte de vœux est un outil porteur de valeur et d’image auprès de vos contacts. N’hésitez pas à partir sur une création originale, avec un vrai apport de valeur ajoutée (papier texturé, finition particulière comme une dorure, une découpe particulière, …). En clair, un indispensable à ne surtout pas négliger !
Le calendrier :
Tout comme la carte de vœux, le calendrier est l’un des classiques de la fin d’année. Il s’adapte à toutes vos envies car il peut être décliné sur un format mural, un format rembordé, ou encore un format chevalet pour être positionné sur un bureau. Il peut également être conçu pour entrer dans un portefeuille, ou bien avec un revêtement Veleda !
Le calendrier est toujours un outil très apprécié des clients, qui a l’avantage d’être conservé et d’être en visibilité toute l’année.
Le carnet de notes :
Il fait partie de ces objets publicitaires que l’on peut offrir lors des fêtes. Le carnet de notes est un goodie qui sera utilisé au quotidien par vos clients et partenaires, au bureau ou lors de réunions. Entièrement personnalisable à votre image, il est déclinable sous de nombreux formats. Un excellent moyen de faire plaisir et de valoriser vos clients pour la nouvelle année !
Un carnet de notes original, c’est un moyen assuré de diffuser votre image de marque de façon élargie, car vos clients l’auront intégré pour toutes leurs prises de notes à l’extérieur. S’il est beau, il saura faire des envieux !
Le sous-main :
Très utile dans un environnement B2B, le sous-main est un excellent moyen d’être visible de vos clients toute l’année. Vous pouvez y inclure votre logo, vos coordonnées, vos services, avec l’éphéméride bien sûr, mais aussi y ajouter des tas de conseils avisés. Votre sous-main deviendra ainsi un outil indispensable pour vos clients ou partenaires.
La pochette zippée :
C’est l’une des spécialités de Cloître ! La pochette zippée est un support étonnant, et particulièrement apprécié des personnes qui la reçoive.
Son format original et son côté indéchirable en font un goodie innovant. Il peut être utilisé au quotidien pour y ranger des stylos, un petit carnet de notes, ou encore une clé USB. Un support de communication qui en surprendra plus d’un !
J’ai choisi mes outils de fin d’année, mais comment les rendre différents de ceux de mes concurrents ?
Au-delà du choix de vos outils de fin d’année et de leur création graphique, n’hésitez pas à surprendre vos clients et à être original. Et bonne nouvelle, dans le domaine du print, de nombreuses possibilités existent pour donner plus d’impact à vos documents.
Choisissez par exemple un papier de création, qui apportera un toucher différent et un aspect plus qualitatif à votre carte de vœux. Vous pouvez également y ajouter une finition originale : dorure, gaufrage, encres fluos ou olfactives, découpe laser, … n’hésitez pas à demander conseil à nos équipes pour trouver l’effet d’impression qui rendra vos outils de fin d’année unique.
Si vous souhaitez jouer la carte de l’interactivité, n’oubliez pas de personnaliser vos documents print grâce à l’impression numérique. Il est aujourd’hui possible de personnaliser le texte de votre document, mais aussi les différentes images présentées avec la technique « MOSAIC » par exemple. Un moyen simple et idéal de valoriser le contact qui recevra votre création.
Enfin, si vous souhaitez lier votre calendrier ou vos goodies à un contenu numérique, comme une vidéo, l’image connectée sera sans aucun doute votre meilleur allié ! Votre client pourra scanner votre création avec son téléphone et accéder instantanément à votre contenu digital. Une technologie efficace et qui fait toujours son effet !
Besoins de conseils pour vos outils de fin d'année ? Les conseillers print de Cloître sont en capacité de vous accompagner. N'hésitez pas à nous contacter !
[post_title] => Les outils de fin d'année : des indispensables de votre relation client !
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[post_content] => En ce mois d’avril 2019, Cloître continue d’innover ! Après le lancement de sa nouvelle identité graphique, de son nouveau site internet et la mise en place d’une application digitale pour ses commerciaux, un nouvel outil à destination des clients et partenaires vient de voir le jour : un magazine semestriel 100% dédié au print et nommé "Perspectives".
« Perspectives », un contenu éditorial pour éclairer les communicants :
Avec la création de ce magazine, la volonté des équipes Cloître était de fournir un véritable contenu éditorial, riche et à forte valeur ajoutée.
Les communicants et autres professionnels du marketing pourront ainsi y découvrir :
des éclairages sur les évolutions du print dans les stratégies marketing et de communication, notamment à partir de résultats d’études et de la veille marché que Cloître réalise en permanence
des exemples de réalisationset un carnet de tendances pour donner de nouvelles idées aux lecteurs
un zoom spécifique sur un papier avec des exemples de réalisations, des aspects techniques et un échantillon gratuit encarté
des dossiers thématiques sur tendances en matière de communication print
l'ensemble de l’actualité de Cloître et des événements proposés
Ce nouveau magazine sera diffusé 2 fois par an : en mars et en septembre. Il doit devenir un outil de référence pour les communicants et les agences afin de les aider dans leur veille ou dans l’optimisation de leurs campagnes.
Cloître veut conforter son positionnement d’imprimeur « Différent » :
Depuis toujours, l'imprimerie Cloître cultive sa différence grâce à une démarche d'accompagnement et de pédagogie auprès de ses clients.
Après la création des ateliers Cloître, d'outils opérationnels comme les fiches techniques ou le guide "Finitions et Façonnages", et la sortie régulière de nuanciers papier spécifiques à notre imprimerie, le magazine « Perspectives » constitue un nouveau support d’informations, source d’inspirations pour nos clients qui n’ont pas le temps de faire de la veille marché.
La nouvelle signature « Print Différent » de Cloître trouve ainsi une nouvelle concrétisation. D’autres projets sont en cours d’élaboration et verront le jour en 2020.
Une version digitale du magazine "Perspectives" disponible sur notre site :
Si une version papier du magazine "Perspectives" est remise en main propre à nos clients, une version digitale est téléchargeable directement sur notre site internet, en cliquant sur le bouton ci-dessous.
[cta align="center"]Je télécharge Perspectives N°1[/cta]
Retrouvez le communiqué de presse complet sur notre Espace Presse
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[post_content] => En ce début mars 2019, pas de changement de logo pour Cloître mais l’affirmation d’un positionnement résolument tourné vers l’expertise et l’innovation avec la mise en place d’un attribut « Print Différent » dans sa communication.
Une refonte graphique pour mettre en avant notre différence :
Le nouvel attribut de marque « Print Différent » vient valoriser le cœur de métier de Cloître et son approche résolument différenciatrice sur le marché.
Depuis 10 ans, Cloître n’a eu de cesse d’évoluer dans ses savoir-faire et ses pratiques :- Du coté de l’expertise métier : un des premiers imprimeurs français en offset numérique HP Indigo avec une montée en puissance fulgurante (50 % des dossiers de l’imprimerie à ce jour), le renouvellement complet de son parc machines offset, la mise en place d’une offre grand format, l’amélioration permanente de son flux avec le JDF, la mise en place d’un management participatif, …
- Du coté de l’innovation : la recherche constante de nouveaux supports papier (le papier à base d’algues, la Feuille de Pierre,…), de nouvelles solutions comme « l'effet MOSAIC », les démarches pédagogiques sur la communication print avec la création nos ateliers thématiques (uniques à ce jour sur le marché), la mise en place d’outils de travail pour les clients (nuanciers papiers, fiches techniques,..), la proposition du Web To Print ou de l’image connectée à ses clients, ...
Le dirigeant de Cloître, Christophe DUDIT, explique le choix de ce nouvel attribut "Print Différent" :
"Cette remise en cause permanente des équipes Cloître pour s’adapter aux évolutions de notre marché, notre approche du marketing papier (moins mais mieux !) sont des aspects fortement ressentis par nos clients, et nous avions besoin de les traduire dans notre communication et dans nos nouveaux outils" .
Enrichir la relation client via de nouveaux outils :
En parallèle de cette évolution graphique, de nouveaux supports viennent enrichir la relation client et apporter toujours plus de conseils à nos clients.
- Un nouveau site internet le 5 mars, résolument tourné vers la réponse aux besoins d’informations, de recherches d’idées et de rapidité dans la demande de prix.
- Un blog qui permettra aux donneur d’ordre et aux communicants de se « nourrir » par la vision des différents experts de Cloître, sur des aspects techniques ou sur les évolutions marketing du papier.
- Un magazine semestriel papier appelé « Perspectives », qui permettra aux clients d’avoir des résultats d'études, des infographies sur des supports print, des partages d’expériences, des conseils techniques, des zooms papiers, … (sortie prévue le 15 mars).
Une expérience client augmentée lors des rendez-vous avec nos conseillers print :
Enfin, la démarche d’innovation de Cloître l’a poussé à équiper tous ses Conseillers Print d’une application commerciale digitale afin d’enrichir plus encore les rencontres clients.
L'objectif : accéder à des exemples de réalisations, à des formes de découpe, à des résultats d’études, à des fiches papiers afin de faciliter la mise en place des projets clients et assurer ainsi une meilleure réactivité de nos équipes.
Lancé en janvier, cet outil rencontre un très bon accueil de la part des clients.
Avec « Print Différent », avec ses investissements dans des outils digitaux pour ses clients et sa force commerciale, Cloître se donne une fois de plus une ligne de conduite résolument tournée vers la modernité.
« Le monde de l’imprimerie est dans un bouleversement complet, nous n’avons pas d’autres alternatives que d’accélérer nos processus de transformations pour continuer à exister demain. C’’est un vrai choix stratégique que nous avons fait chez Cloître » conclut Christophe Dudit.
Retrouvez le communiqué de presse complet sur notre Espace Presse :
[cta align="center"]Découvrir l'espace presse Cloître[/cta]
[post_title] => Cloître entre dans l'ère Print Différent !
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[post_content] => Je ne vais pas ici vous faire un remake de la guerre Print vs Digital. La communication imprimée a été, de fait, fortement impactée ces dernières années par l’émergence de nouveaux médias, de nouvelles technologies. Quand il s’agit de prendre le meilleur de ces évolutions, c’est tout bénéfice pour les communicants.
Mais sommes-nous toujours certains des arbitrages qui sont faits dans ce sens ? Et s’il y a un support pour lequel, à l’évidence, il ne faut pas céder aux sirènes du numérique, c’est bien le journal interne. Décryptage !
Le journal interne : un outil de communication stratégique !
Nous n’insisterons jamais assez sur l’importance de communiquer en interne. Les salariés participent quotidiennement au développement de leur entreprise et ils ont besoin d’avoir de la visibilité sur ce que leur travail apporte à la société. La direction, de son côté, a besoin de renforcer le lien avec ses employés, pour s’assurer de leur implication et pour développer leur sentiment d’appartenance à un système. Et cette nécessité est encore plus forte en période de crise.
Le journal interne, considéré à juste titre comme le meilleur outil en communication interne, doit répondre à cette dualité : satisfaire aux attentes des lecteurs et communiquer sur les enjeux de l’entreprise. Pêle-mêle, et sans que cette liste soit exhaustive, il donnera de l’information sur la vie de l’entreprise (son actualité, ses nouveaux marchés, ses nouveaux produits, ses réussites), il rendra compte des événements auxquels la société a participé (salons, opérations commerciales…), il apportera des précisions sur la stratégie de la direction, il créera de la convivialité entre les équipes, il fera découvrir les métiers de l’entreprise, les nouvelles têtes, et il pourra également donner la parole aux salariés…
Les sujets sont nombreux mais, pour produire un support de qualité, il ne faut pas sous-estimer la charge de travail à y consacrer.
A travail de qualité, organisation sans failles :
Pour atteindre ce niveau de résultat, il faudra mettre en place une organisation opérationnelle et créative, confiée souvent aux RH, ou au service communication lorsque l’entreprise en est dotée. Et pour que tout cela fonctionne, il aura fallu, avant tout, constituer un comité de rédaction, idéalement représentatif de la structure. Cette équipe éditoriale pourra dans certains cas se faire aider par une agence de communication.
Une fois l’équipe au travail, il faudra trouver les sujets, penser illustrations et photos, rédiger les contenus, gérer les réunions de relecture, faire valider, gérer les plannings de mise en page et d’impression. Une masse de travail dont l’importance sera proportionnelle à la fréquence de parution.
Il est à noter qu'aujourd'hui, la tendance est à la co-création et à la participation de l'ensemble des services au journal interne. Genopole a par exemple mis en place une équipe mélangeant différents champs de compétences pour la rédaction de son journal interne. En ouvrant ces sujets à des salariés qui ne sont pas que des communicants, la qualité finale n'en est que plus riche et plus inclusive.
Alors pour son journal interne, on opte pour le papier ou digital ?
Si en amont, on se donne beaucoup de mal pour produire un journal interne de qualité, il va de soi qu’il faut qu’il soit lu. Et chose étrange, quand on parle de ROI sur une opération, on oublie souvent de le faire dans le domaine de la communication interne !
C’est d’ailleurs ce qui conduit généralement, dans un contexte de réduction budgétaire et de transformation digitale des entreprises, à supprimer le bon journal interne papier pour le remplacer par une version numérique. Mais le digital est-il le bon média pour atteindre nos objectifs ?
Un passage de témoin compliqué dans l'industrie :
Ne nous leurrons pas, toutes les entreprises ne peuvent pas se débarrasser du papier aussi facilement. Prenons l'exemple du milieu industriel, dans lequel de nombreux salariés ne possèdent pas d'adresses e-mail professionnelles car ils ne travaillent pas sur des postes de bureaux. Comment diffuser efficacement sa newsletter ou son journal interne version PDF dans un tel cas de figure ?
Lorsque la majorité de votre main d’œuvre est “déconnectée”, il est difficile de toucher vos collaborateurs sans passer par l’impression.
Un type de document qui rend sa digitalisation contre-productive :
D’autre part, le journal interne est-il réellement « dématérialisable » compte-tenu de la masse d’informations dont il regorge ?
Le digital a 2 caractéristiques premières qui font sa force : l’immédiateté (la fameuse « information chaude ») et le côté « flash » qui fait que, par son format court, on va le digérer rapidement. Or, c’est tout le contraire de ce qu’on attend d’un journal interne. Il est là pour poser l’actualité, sans impératif d’urgence. Il est dense par essence car il aborde, dans chacune de ses parutions, une variété de sujets. Autant de caractéristiques antinomiques par rapport aux vertus du format numérique.
Et c’est en schématisant les choses que l’on enfonce encore plus le clou : lorsque je reçois par e-mail mon journal interne, soit j’ai de la disponibilité et je le lis immédiatement (s’il n’est pas trop long), soit je l’archive pour plus tard et la plupart du temps je ne le lirai jamais. Résultat, un retour sur investissement nul !
En revanche, lorsque je reçois un document physique, soit je le lis, soit je le mets de côté pour plus tard mais il est là, sous mes yeux, et je ne l’oublie pas. Je peux aussi l’emporter chez moi, et éventuellement le faire lire à ma famille, à mes amis.... j’amplifie donc le message plutôt que d’en réduire l’impact.
Et le côté interactif du digital, n'est-il pas intéressant ?
En conclusion, je dirais que c’est une hérésie de dématérialiser son journal interne. Se poser la question de le passer au format digital, c’est à l’évidence, in fine, se poser la question de le conserver. En effet, nous avons vu que ce support d’une importance capitale en communication interne nécessite une charge de travail importante et une organisation sans faille, qui sollicite des équipes entières. Si tout cet investissement devait aboutir à un impact minimum, je connais peu de structures qui continueraient à s’en payer le luxe...
La vraie question n’est donc pas de savoir si je dématérialise ou non mon journal interne mais plutôt de savoir si je continue à en faire un. Peut-être serez-vous inspiré(e) par de grandes marques comme Norauto ou Generali, qui ont misé sur des journaux internes moins fréquents mais plus qualitatifs ? Alors, équipes éditorialistes, battez-vous pour garder votre journal interne au format papier !
N'hésitez pas à réagir à cet article en partageant avec nous vos stratégies de communication interne. Par ailleurs, n'hésitez pas à découvrir quelques unes des réalisations Cloître en communication interne sur notre site internet !
[cta align="center"]Découvrir les réalisations Cloître[/cta]
[post_title] => Faut-il vraiment dématérialiser son journal interne ?
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[post_content] => Depuis plus de 20 ans, je répète régulièrement : « Sans fond perdu, je suis perdu ! ». Les métiers liés aux arts graphiques ont profondément changés, et l’artisanat a fait place à l’industrialisation de nos pratiques pour allier qualité et productivité.
Cependant, pour obtenir les meilleurs résultats, il est nécessaire de fournir un fichier PDF correctement réalisé. La structure et la géométrie de ce dernier sont prépondérantes pour une impression optimale et une découpe parfaite. Zoom sur le fond perdu, un concept souvent méconnu mais pourtant primordial.
Mais qu’est-ce qu’un fond perdu ?
Commençons par la base, à savoir la définition du fond perdu, aussi appelé bord perdu. Il s’agit en fait de l’espace situé à l’extérieur de la page, hors du format fini, dans lequel doivent dépasser les images et les blocs couleurs contigus à la coupe.
Voici un exemple d’image avec un fond perdu, matérialisé au-delà du contour vert :
Ce débordement est absolument nécessaire afin de réaliser une coupe parfaite pour un document imprimé. Car même si nous avons des machines de découpe très précises, des techniciens habiles, il évite que des liserés blancs apparaissent sur les bords de pages.
Ci-dessous la même image que précédemment, au format fini, après découpe :
Je ne peux que vous conseiller de réaliser un fond perdu de 5 mm, sans toutefois descendre en dessous des 3 mm, qui constituent le minimum nécessaire. Comme je le dis souvent, qui peut le plus, peut le moins !
Quid de la zone tranquille ?
Les plus connaisseurs d’entre vous penseront certainement à une autre zone qui est parfois négligée : la zone tranquille, aussi appelée la zone de confort.
Au contraire du fond perdu, cette zone est une marge de sécurité située à l’intérieur du document. L’idée n’est pas ici de protéger des éléments lors de la découpe du document, mais lors des diverses opérations de façonnage (le pliage, l’assemblage, la perforation, etc…). Il faut donc éviter d’y placer des informations ou des images clés (textes, folios, logos, slogans, etc…) pour qu’elles ne soient pas impactées.
En termes de dimension, ce sont les mêmes que pour le fond perdu : idéalement 5 mm et au minimum 3 mm à l'intérieur du bord de page.
L’image ci-dessous vous récapitule ces différents aspects :
Paramétrer correctement ses logiciels pour faire apparaître le fond perdu et la zone tranquille :
Paramétrage pour InDesign :
InDesign est certainement l’un de vos outils favoris pour réaliser la mise en page de vos différents fichiers.
Pour bien construire votre composition sous InDesign, je vous conseille dès le départ de faire apparaître le fond perdu et la zone tranquille, en paramétrant votre document de la sorte :
Grâce à cette petite manipulation, apparaissent en rouge la limite du fond perdu, en noir le format fini et en mauve la zone tranquille. Par le magnétisme des repères, il vous est facile de ne pas omettre d’intégrer le fond perdu. La marge de sécurité est visible pour éviter d'aller trop près du bord de page.
Une belle composition selon moi est une mise en page qui « respire », où les éléments ne sont pas trop proches du format fini.
Paramétrage de vos logiciels de PDF:
Une fois votre création réalisée, vous allez normalement l’exporter au format PDF. Il est primordial que vous contrôliez votre PDF avant de l’envoyer à votre imprimeur préféré (ne serait-ce pas Cloître ?) afin d’éviter que l’on ne vous rappelle et que le délai s’en retrouve pénalisé. Dans notre métier où l’hystérie fait partie de notre quotidien, l’arrivée du fichier se fait souvent au tout dernier moment, et des problèmes liés au fichier peuvent contraindre votre projet.
Vous trouverez à ce titre sur notre site, en téléchargement, les paramétrages à intégrer dans votre logiciel préféré pour un export PDF optimal !
Un conseil très important : l’ouverture d’un PDF destiné à l’impression se fait dans des logiciels dédiés à notre profession, comme Adobe Acrobat (payant) ou Adobe Reader (Gratuit).
Vous pouvez d’ores et déjà oublier tous les autres logiciels qui n’affichent pas toujours correctement l’apparence réelle des PDF. On peut notamment citer Aperçu sur Mac, ou encore Foxit Reader sur PC.
Tout PDF correctement généré par des logiciels PAO (Adobe InDesign, Adobe Illustrator, Quark Xpress, Scribus…) présente dans son code les différentes zones. Elles peuvent être visibles en modifiant les préférences d’Acrobat et de Reader ainsi :
Vous verrez apparaître en vert la zone de format fini et en bleu la zone de fond perdu. Ces traits ne seront pas imprimés, ils sont juste utiles pour contrôler la bonne géométrie de votre PDF.
En absence de fond perdu, il existe de nos jours des plugins pour Adobe Acrobat qui permettent de créer du fond perdu en agrandissant les blocs vectoriels, et en dupliquant par effet miroir les images dans la zone de fond perdu. On peut notamment citer Enfocus PitStop et Callas pdfToolbox.
Mais rien ne prévaut de bien le faire dès le début afin d’éviter toute manipulation humaine…
Pour conclure :
Et voilà, vous êtes désormais des maîtres du fond perdu et de la zone tranquille ! N’oubliez jamais les deux petits chiffres primordiaux, 5mm (à l’idéal) et 3mm (au minimum), et vous aurez déjà réalisé une étape fondamentale dans la bonne réalisation de votre création destinée à l’impression.
De même, paramétrez correctement vos logiciels vous permettra de limiter les erreurs et de gagner en sérénité. Pour toute question, n’hésitez pas à poster un commentaire sur l’article, ou bien à télécharger nos fiches techniques sur le site Cloître.
Que le fond perdu soit avec vous !
[cta align="center"]Découvrir les fiches techniques Cloître[/cta]
[post_title] => À la recherche du fond perdu !
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[post_content] => Connaissez-vous la Feuille de Pierre ? Support récent et innovant dans le monde de l’imprimerie, la Feuille de Pierre fait parler d’elle depuis le printemps 2018 et de nombreux reportages télévisés à son sujet. Sa composition unique, faite à 80% de pierre, rend ce support indéchirable et waterproof.
Nous avons interviewé Arnaud CHEVALIER, membre de l’association Sea Kayak Fishing, qui a récemment utilisé la Feuille de Pierre pour l’un de ces événements.
Bonjour Arnaud ! Peux-tu nous parler un petit peu de ton association, Sea Kayak Fishing ?
"Sea Kayak Fishing est une association résolument tournée vers la protection du milieu marin et des ressources halieutiques. Nous organisons des compétitions qui rassemblent des pêcheurs venus de toute l'Europe, et faisons la promotion de la pêche dite "sportive" en kayak. Je précise sportive car nous sommes très loin de la pêche "pépère", où le poisson réveille le pêcheur endormi lorsqu'il mord ! Sur deux jours de pêche certains participants font plus de 20 milles (près de 40km) à la pagaie sur des zones assez vastes. Toutes les captures sont relâchées vivantes.
Le kayak permet de se déplacer sans bruit, sans moteur ni pollution, et de profiter pleinement des éléments. C'est une sorte de philosophie... et ses adeptes ont en général un point commun : ils aiment se retrouver ensemble et refaire le monde. Faire avancer les choses, en donnant l'exemple pour que certains plaisanciers apprennent les bons gestes : respecter les tailles des espèces, les périodes de reproduction durant lesquelles on laisse les poissons tranquilles, ne prélever que le strict nécessaire, ne pas rejeter dans l'océan leurs détritus, car ce n'est pas une poubelle qui "digère" tout ce qu'on lui donne..."
Tu as récemment utilisé la Feuille de Pierre pour un événement. Peux-tu nous dire pourquoi tu t’es tourné vers ce support et nous préciser le cadre de son utilisation ?
"Pour s'orienter sur les zones de pêche, les compétiteurs doivent disposer d'une cartographie des zones, définir leur stratégie et indiquer avec précision aux bateaux commissaires où ils se trouvent pour faire valider leurs prises. Elle comporte également des infos pour contacter les organisateurs, les horaires des marées, ...
La carte doit donc bien évidemment pouvoir résister à la fois à l'eau omniprésente et être manipulée très souvent, roulée ou pliée, dans des conditions parfois extrêmes (fortes pluies, vent, vagues...). Elle doit passer tout le week-end sur le pont du kayak sans perdre de son utilité ni craindre les écailles !
C’est pourquoi la Feuille de Pierre a été une évidence pour nous. Son côté à la fois très résistant et 100% waterproof répondait parfaitement à notre besoin.
Pour ne rien gâcher au plaisir, la Feuille de Pierre limite l’usage de matériaux plastiques, sa constitution étant minérale à 80%, avec seulement 20% de résine pour lier l’ensemble. Et sa production ne nécessite ni eau, ni cellulose, ni produits chimiques. Pour une association orientée développement durable, ce sont des critères qui comptent..."
[caption id="attachment_1881" align="aligncenter" width="750"]Carte maritime imprimée sur de la Feuille de Pierre par Cloître[/caption]
Qu’as-tu pensé de l’utilisation de la Feuille de Pierre ? A-t-elle répondu à tes attentes et à celles des participants ?
"Sincèrement, je n’en pense que du bien. Expliquer aux participants que cette année les cartes seraient imprimées sur de la pierre avait déjà fait parler la communauté. Je crois qu’ils n'imaginaient pas un rendu aussi qualitatif, résistant et waterproof sans plastique...
Même s’il reste encore la question des filières de recyclage, c’est un support qui a le mérite d’innover et d’ouvrir la réflexion autour d’alternatives crédibles et complémentaires au papier. Plusieurs des participants ont d’ailleurs exprimé l'intérêt spécifique à leur métier et au besoin d'impressions résistantes, en extérieur, sans avoir recours à une plastification parfois fastidieuse et onéreuse.
Le seul inconvénient finalement, c'est que nous n'avons pas pu récupérer toutes les cartes à la fin de la rencontre ! Elles étaient encore nickels et les participants ont voulu les conserver en souvenir."
Vous souhaitez en savoir plus sur la Feuille de Pierre ?
Importée en France par la société Armen Paper de Quimper, Cloître est l’imprimeur référent Feuille de Pierre depuis plusieurs années.
Toute notre équipe est à votre disposition pour vous présenter des exemples de réalisations en Feuille de Pierre, vous proposer des échantillons et construire avec vous votre projet.
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[post_title] => Interview : Arnaud CHEVALIER nous parle de la Feuille de Pierre
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[post_content] => Besoin de booster votre créativité et d'optimisez votre communication print ? Envie d'acquérir de nouvelles compétences pour gagner en temps et en efficacité sur la gestion de vos imprimés ? Nos Ateliers Cloître sont là pour vous aider.
Vous ne connaissez pas encore nos Ateliers Cloître ? Découvrez-les en 5 points clés :
Un format court :
Environ 3 heures environ, sauf exception (la journée pour l’atelier pièges).
Des cas concrets :
Pas de blabla, que des explications concrètes, illustrées par des exemples vécus et des modèles produits !
Un esprit convivial :
Des groupes 10 à 20 participants maximum pour favoriser les interactions, avec un accueil café et des moments d'échanges.
À proximité de nos clients :
Des ateliers en Bretagne (St Thonan, Quimper, Lorient, Vannes, St Brieuc, Rennes,...) mais aussi sur Paris !
Présentés par des professionnels :
Une expérience partagée par les salariés de l'imprimerie Cloître ainsi que par nos partenaires comme BookBéo, HP ou encore des papetiers comme Fedrigoni.
Alors, convaincu(e) ? Accédez dès maintenant à notre nouvelle programmation en cliquant sur le lien ci-dessous :
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Cloître s’engage dans une démarche ClimateCalc, le bilan carbone pour les imprimeurs
Notre récente labellisation Bretagne 26000 nous a amenés à prendre 35 engagements pour les 3 ans à venir dont celui de refaire un bilan carbone de l’entreprise dès 2023.
Nous avions déjà fait une telle démarche en 2009 en lien avec l’ADEME sans avoir mis à profit forcément tous les enseignements de ce bilan général. Cette fois-ci, nous avons décidé d’aller plus loin !
En choisissant Climate Calc, nous pourrons non seulement avoir une vision de nos émanations CO2 sur le périmètre complet de l’activité de l’entreprise (scope 3) pour nous comparer avec 2009 mais nous pourrons aussi permettre à nos clients de connaitre l’empreinte carbone de chaque commande livrée. Un vrai plus !
ClimateCalc, qu’est-ce que c’est exactement ?
ClimateCalc a été conçu au Danemark il y a quelques années avec l’objectif d’estimer les émissions de C02 générées par un imprimé. Il s’agit d’une méthode de calcul basée sur l’ACV « Analyse du Cycle de Vie ».
Ce calcul tient compte des principales sources d’émissions carbone et permet ainsi de définir des actions de réduction pouvant être mises en place à la fois par l’acheteur d’imprimés et l’entreprise graphique. L’estimation des émissions d’un imprimé sera basée sur la prise en compte de données de Cloître (consommation énergétique, déplacement du personnel, …) et sur la considération des caractéristiques de l’imprimé commandé :
choix du papier et de son lieu de fabrication + mode d’acheminement
format du document et pagination
taux d’encrage
type d’impression (offset, flexographie, héliogravure, numérique, sérigraphie)
type de finition…
modalités d’emballages
mode de transport aval (livraison au client)
Au-delà des données propres à l’imprimeur, le calcul intègre les éléments d’une base de données commune et internationale régulièrement mise à jour (empreinte carbone d’une référence papier en fonction de son grammage, de la papeterie qui l’a fabriquée,)
ClimateCalc la démarche internationale pour la sensibilisation à l’empreinte carbone des imprimeurs !
ClimateCalc est un calculateur unique basé sur les recommandations de la confédération européenne des industries graphiques, Intergraf.
En proposant des facteurs d’émissions propres aux industries graphiques, ClimateCalc n’est pas qu’un calculateur européen mais représente aussi une base de données européenne commune utilisée et mise à jour par l’ensemble des membres du consortium européen ClimateCalc. Cela permet notamment des éléments de comparaison puisque le périmètre d’étude est le même pour tous les imprimeurs qui s’y engagent.
ClimateCalc est conforme aux normes ISO 14064-1, ISO 16759 et au Green House Gas Protocol (GHG Protocol).
Un intérêt manifeste pour les communicants responsables
ClimateCalc va nous permettre d’intégrer dans notre « approche conseil » des recommandations plus fortes en matière de choix papier éco-responsable. Elle favorisera les comparaisons d’une référence par rapport à une autre par exemple.
Bien sûr, elle n’enlèvera rien aux autres critères de choix comme la labellisation d’une référence PEFC ou FSC, le taux de fibres recyclées ou d’éléments alternatifs dans sa composition et bien sûr à l’optimisation des formats ou le mode éco-conception du graphisme. Ce sera un aspect complémentaire pour vous aider dans le choix du donneur d’ordre et dans la transparence attendue par les consommateurs.
Le logo de la marque ClimateCalc apposé sur votre imprimé vous permettra d’attester que cette estimation est faite conformément à une méthode reconnue et indiquera le numéro de certificat de notre imprimerie.
Exemple de logo climatecalc
Rendez-vous à la rentrée de septembre pour découvrir notre bilan carbonne.
Notre équipe Cloitre vous donne rendez-vous en septembre pour vous annoncer (on l’espère ) notre labellisation (après audit validé) et tester avec vous le calcul de l’empreinte carbone de votre imprimé.
Il fait partie des 115 personnes qui, chaque jour, font en sorte que vos projets print soient traités avec rapidité et efficacité.
Dans cet article, je vous invite à faire la connaissance d'Olivier LE BORGNE, directeur technique Cloître, et à comprendre son rôle au sein de l'entreprise. Vous y découvrirez notamment son parcours étonnant ainsi que l'ensemble des évolutions à venir dans le secteur de l'imprimerie.
Olivier, tu es aujourd'hui directeur technique chez Cloître, peux-tu nous expliquer ton parcours et tes missions au sein de l'imprimerie ?
Pour revenir brièvement sur mon parcours, on peut dire que je suis un pur produit de chez Cloître. Je suis arrivé en 1990, cela fait donc plus de 28 ans que je travaille au sein de l'imprimerie! Mais comme vous vous en doutez, je n'ai pas toujours été directeur technique. Je suis passé par la fabrication, les achats, la gestion de la sous-traitance, ou encore la gestion du planning.
Et je suis donc aujourd'hui directeur technique, un rôle qui est un petit peu à l'image de mon parcours : multi-casquettes ! Pour faire simple, disons que j'organise le travail au niveau de la production, cela sous-entendant évidemment de nombreuses choses. Cela passe par le suivi des équipes de production, le management des équipes, la gestion de l'intérim, une partie des achats, les rencontres fournisseurs, la veille technologique, et même la gestion des travaux au sein de nos locaux ! Je remplace également la personne en charge du planning lorsqu'elle est absente.
On sait que le monde de l'imprimerie a subi de nombreuses mutations ces dernières années. Quelles sont les évolutions qui t'ont le plus marqué ?
Effectivement, le monde de l'imprimerie n'a de cesse de se réinventer, notamment face aux mutations induites par le digital. Cela fait presque partie de notre quotidien désormais !
Concernant les mutations qui m'ont le plus marqué, je vais vous en citer 3 :
En premier lieu, le passage de la photocomposition à la PAO. Pour ceux qui ne connaissent pas la photocomposition, disons qu'il s'agissait d'un processus permettant de produire des plaques offset à partir d'une surface sensible, sur laquelle tous les caractères étaient flashés. Des opérateurs saisissaient le texte au kilomètre sur des machines à composer extrêmement rudimentaires, en choisissant la police, la justification ou encore le style. Le problème était qu'on ne disposait pas d'écran pour voir le rendu, et donc que chaque erreur pouvait générer des frais pour l'entreprise. Aujourd'hui, avec les logiciels de PAO actuels, tous ces aspects sont gérés beaucoup plus facilement et rapidement.
En deuxième lieu, la rapidité des presses et des machines de façonnage. Il y a encore quelques années, nous imprimions environ 4 000 feuilles par heure en impression offset. Aujourd'hui, avec notre Heidelberg XL8, on peut tourner jusqu'à 18 000 feuilles par heure. Même constat sur des machines de façonnage comme les chaînes de reliure. C'est assez impressionnant quand on y pense, et cela s'est fait dans un laps de temps très court...
Enfin, comment ne pas citer l'arrivée de l'impression numérique ? Cloître a d'ailleurs été précurseur dans ce domaine et continue à s'équiper de presses numériques dernière génération. On peut dire que l'impression numérique a ouvert de nombreuses possibilités, que ce soit le court tirage, la personnalisation ou encore certains effets d'impression comme l'effet MOSAIC.
Exemple de sacs imprimés avec l'effet MOSAIC
Changeons un petit peu la question initiale : quelles sont les évolutions que tu pressens pour l'avenir ?
Question compliquée ! Ce n'est pas évidement de se projeter sur un marché qui évolue aussi rapidement. De nouvelles technologies arrivent chaque jour, avec de nouvelles idées auxquelles nous n'aurions jamais pu penser auparavant.
Si je devais vous donner deux idées phares, je pense que la première serait l'arrivée d'une presse avec une mécanique offset, mais un système d'impression proche du numérique. Sans utilisation de plaques en fait. Certaines entreprises comme Komori & Landa travaillent déjà à créer des presses hybrides, et il est probable que cela voit le jour dans les 10 prochaines années. De toute manière, le numérique tend à se rapprocher de l'offset, ne serait-ce qu'en termes de qualité d'impression.
La deuxième idée serait que l'imprimeur de demain n'imprimera pas que sur le support papier. On le voit déjà avec des supports alternatifs comme l'Alga Carta ou bien la Feuille de Pierre, mais il est possible que cela aille plus loin. Comment ne pas penser à l'impression 3D par exemple ? Sans trahir de secret, HP travaille actuellement sur le sujet. Reste à voir quel impact cela peut avoir, si c'est pertinent et à quel échelle cela peut nous impacter.
Pour terminer, on sait que la réactivité d'un imprimeur est un critère de choix important aujourd'hui. Qu'elles sont les solutions mises en oeuvre à ton niveau et au niveau de Cloître pour y répondre ?
C'est vrai que la réactivité est un gros challenge aujourd'hui, auquel nous accordons une importance fondamentale. Pour l'heure, je crois que Cloître s'en sort plutôt bien et que nos clients sont satisfaits.
A ce titre, plusieurs choses ont été mises en place comme par exemple le traitement des fichiers en automatique, avec l'utilisation de la plateforme InSite. Cloître est également précurseur sur le Web To Print, avec une solution qui permet de gérer ses imprimés sur une boutique web 100% personnalisée à l'image du client.
Sur la partie planning, tout est également informatisé, avec un suivi en temps réel de la production et de la logistique. Soulignons aussi tous les investissements en termes de machines, que ce soit au niveau de nos presses ou bien au niveau de nos machines de façonnages (notre chaîne de reliure Kolbus peut aujourd'hui monter jusqu'à 6 000 feuilles par heure !).
Mais on ne reste pas sur nos acquis, et nous avançons en ce moment même sur d'autres projets. La satisfaction-client est et doit rester la priorité numéro un chez Cloître.
Comme tous les supports, le papier peut être porteur de bactéries mais l’industrie des arts graphiques innove en proposant des solutions de protection.
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